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Existe-t-il un remplacement délibéré de la population ?
Opinion non déguisée. Provenant aujourd’hui d’un article d’Anian Liebrand, politicien de l’Union démocratique du centre (UDC), publié dans la revue suisse « Schweizerzeit ».
Si quelqu’un parle de « remplacement de la population », il est immédiatement accusé d’être un « théoricien de conspiration ». [lire la suite]
Existe-t-il un remplacement délibéré de la population ?www.kla.tv/12258
10.04.2018
Opinion non déguisée. Provenant aujourd’hui d’un article d’Anian Liebrand, politicien de l’Union démocratique du centre (UDC), publié dans la revue suisse « Schweizerzeit ».
Si quelqu’un parle de « remplacement de la population », il est immédiatement accusé d’être un « théoricien de conspiration ». « Le remplacement de la population signifie que la population autochtone qui diminue doit être délibérément remplacée par des migrants. Dans un article d’Anian Liebrand dans « Schweizerzeit » du 22 décembre 2017 il a été prouvé avec des sources statistiques et au moyen d’un grand travail de recherche que « le remplacement de la population » est déjà une réalité : La structure de la population en Suisse évolue rapidement. Anian Liebrand montre également que l’immigration massive est bien accueillie et activement encouragée par des politiciens de l’UE et de soi-disant élites. Comme l’explique Kla.TV dans son émission en langue allemande « La crise migratoire comme fait de conspiration », la crise des réfugiés a été planifiée il y a longtemps et tramée par des personnes spécifiques comme George Soros. Les races doivent être mélangées, les identités nationales dissoutes, les États-nations affaiblis et finalement même abolis. Ainsi, les extraits suivants de l’article original de « Schweizerzeit » ne sont en aucun cas dirigés contre les étrangers en Suisse ou dans d’autres pays. Il s’agit plutôt de considérer dans un contexte plus large la migration générée en grande partie artificiellement et de comprendre les plans des stratèges mondiaux.
« Alors que le nombre de « Suisses biologiques » (sans origine étrangère) ne cesse de diminuer depuis des années, le nombre de personnes d’origine étrangère est en forte hausse… En 2016, le nombre d’habitants de 15 ans et plus « issus de l’immigration » a atteint un nouveau record de 2,6 millions (lire 2 millions 600 mille). Aujourd’hui 37% des sept millions d’adultes en Suisse ont des racines étrangères. La proportion de la population âgée de 14 ans et plus sans origine migratoire est passée de 70 à 63% entre 2003 et 2015. En fait, il y a probablement beaucoup plus de personnes ayant des racines étrangères (…). L’Office fédéral de la statistique ne considère pas comme « issues de l’immigration » les personnes nées en Suisse et dont au moins un des parents est né en Suisse. Par exemple, selon l’Office fédéral de la statistique, un Albanais du Kosovo né et naturalisé en Suisse, dont le père d’origine kosovare est également né et naturalisé en Suisse, n’est pas issu de l’immigration. Dans ce cas il est évident que le gouvernement fédéral donne un taux de migration faussement bas. Il est clair que plus les enfants sont jeunes, plus la proportion d’enfants issus de l’immigration est élevée. En 2015, 54% des enfants de moins de six ans vivaient dans un ménage issu de l’immigration. Pour l’année 2016, l’Office fédéral de la statistique n’a même pas précisé si les personnes âgées de moins de 15 ans étaient issues ou non de l’immigration. On peut seulement noter que la proportion des moins de 15 ans qui n’ont pas de passeport suisse est de près de 27% – un chiffre beaucoup plus élevé que pour les plus de 15 ans. L’Office fédéral de la statistique s’efforce-t-il de dissimuler le fait que la proportion de jeunes issus de l’immigration est supérieure à la moyenne ? (…) En outre la majorité des personnes d’âge moyen sont également issues de l’immigration ; c’est le cas des personnes de 33, 36 et 39 ans. (…) Il ne faut pas oublier les naturalisations, dont le nombre a monté en flèche au cours des 25 dernières années. Pas moins de 775 000 étrangers ont été naturalisés pendant cette période. C’est plus que la population du canton de Vaud, qui a le troisième plus grand nombre d’habitants de tous les cantons suisses.
La démographie, c’est-à-dire la science du développement de la population, aboutit inévitablement à la conclusion que la pression migratoire sur les pays industrialisés riches d’Europe se poursuivra. Les spécialistes de la démographie estiment que les femmes africaines mettent au monde entre 5,5 et 6,6 enfants, selon les pays ; or, statistiquement, une population ne se développe de façon stable que lorsque chaque femme donne la vie en moyenne à 2,1 enfants. L’explosion démographique qui résulte de cette disparité est impossible à gérer pour la plupart des pays africains. (…) L’Europe, par contre, se rapproche de la croissance zéro car en moyenne, la femme européenne donne naissance à 1,4 enfant.
Outre l’évolution démographique, l’immigration de masse est bien accueillie et activement encouragée par toutes sortes de think-tanks, d’ONG, de passeurs mais aussi par les politiciens de l’UE. L’idée de substituer des migrants à la population autochtone en baisse est une idée très répandue parmi les soi-disant élites. On ignore semble-t-il le fait que l’immigration en provenance des pays africains et arabes a été jusqu’à présent une grosse perte économique pour la Suisse et l’Europe et qu’une grande partie des migrants dépendent directement de l’assistance sociale, parce qu’ils n’appartiennent évidemment pas aux personnes qualifiées si désespérément recherchées par l’économie. Ou alors est-ce intentionnel ? »
10.04.2018
Opinion non déguisée. Provenant aujourd’hui d’un article d’Anian Liebrand, politicien de l’Union démocratique du centre (UDC), publié dans la revue suisse « Schweizerzeit ». Si quelqu’un parle de « remplacement de la population », il est immédiatement accusé d’être un « théoricien de conspiration ». « Le remplacement de la population signifie que la population autochtone qui diminue doit être délibérément remplacée par des migrants. Dans un article d’Anian Liebrand dans « Schweizerzeit » du 22 décembre 2017 il a été prouvé avec des sources statistiques et au moyen d’un grand travail de recherche que « le remplacement de la population » est déjà une réalité : La structure de la population en Suisse évolue rapidement. Anian Liebrand montre également que l’immigration massive est bien accueillie et activement encouragée par des politiciens de l’UE et de soi-disant élites. Comme l’explique Kla.TV dans son émission en langue allemande « La crise migratoire comme fait de conspiration », la crise des réfugiés a été planifiée il y a longtemps et tramée par des personnes spécifiques comme George Soros. Les races doivent être mélangées, les identités nationales dissoutes, les États-nations affaiblis et finalement même abolis. Ainsi, les extraits suivants de l’article original de « Schweizerzeit » ne sont en aucun cas dirigés contre les étrangers en Suisse ou dans d’autres pays. Il s’agit plutôt de considérer dans un contexte plus large la migration générée en grande partie artificiellement et de comprendre les plans des stratèges mondiaux. « Alors que le nombre de « Suisses biologiques » (sans origine étrangère) ne cesse de diminuer depuis des années, le nombre de personnes d’origine étrangère est en forte hausse… En 2016, le nombre d’habitants de 15 ans et plus « issus de l’immigration » a atteint un nouveau record de 2,6 millions (lire 2 millions 600 mille). Aujourd’hui 37% des sept millions d’adultes en Suisse ont des racines étrangères. La proportion de la population âgée de 14 ans et plus sans origine migratoire est passée de 70 à 63% entre 2003 et 2015. En fait, il y a probablement beaucoup plus de personnes ayant des racines étrangères (…). L’Office fédéral de la statistique ne considère pas comme « issues de l’immigration » les personnes nées en Suisse et dont au moins un des parents est né en Suisse. Par exemple, selon l’Office fédéral de la statistique, un Albanais du Kosovo né et naturalisé en Suisse, dont le père d’origine kosovare est également né et naturalisé en Suisse, n’est pas issu de l’immigration. Dans ce cas il est évident que le gouvernement fédéral donne un taux de migration faussement bas. Il est clair que plus les enfants sont jeunes, plus la proportion d’enfants issus de l’immigration est élevée. En 2015, 54% des enfants de moins de six ans vivaient dans un ménage issu de l’immigration. Pour l’année 2016, l’Office fédéral de la statistique n’a même pas précisé si les personnes âgées de moins de 15 ans étaient issues ou non de l’immigration. On peut seulement noter que la proportion des moins de 15 ans qui n’ont pas de passeport suisse est de près de 27% – un chiffre beaucoup plus élevé que pour les plus de 15 ans. L’Office fédéral de la statistique s’efforce-t-il de dissimuler le fait que la proportion de jeunes issus de l’immigration est supérieure à la moyenne ? (…) En outre la majorité des personnes d’âge moyen sont également issues de l’immigration ; c’est le cas des personnes de 33, 36 et 39 ans. (…) Il ne faut pas oublier les naturalisations, dont le nombre a monté en flèche au cours des 25 dernières années. Pas moins de 775 000 étrangers ont été naturalisés pendant cette période. C’est plus que la population du canton de Vaud, qui a le troisième plus grand nombre d’habitants de tous les cantons suisses. La démographie, c’est-à-dire la science du développement de la population, aboutit inévitablement à la conclusion que la pression migratoire sur les pays industrialisés riches d’Europe se poursuivra. Les spécialistes de la démographie estiment que les femmes africaines mettent au monde entre 5,5 et 6,6 enfants, selon les pays ; or, statistiquement, une population ne se développe de façon stable que lorsque chaque femme donne la vie en moyenne à 2,1 enfants. L’explosion démographique qui résulte de cette disparité est impossible à gérer pour la plupart des pays africains. (…) L’Europe, par contre, se rapproche de la croissance zéro car en moyenne, la femme européenne donne naissance à 1,4 enfant. Outre l’évolution démographique, l’immigration de masse est bien accueillie et activement encouragée par toutes sortes de think-tanks, d’ONG, de passeurs mais aussi par les politiciens de l’UE. L’idée de substituer des migrants à la population autochtone en baisse est une idée très répandue parmi les soi-disant élites. On ignore semble-t-il le fait que l’immigration en provenance des pays africains et arabes a été jusqu’à présent une grosse perte économique pour la Suisse et l’Europe et qu’une grande partie des migrants dépendent directement de l’assistance sociale, parce qu’ils n’appartiennent évidemment pas aux personnes qualifiées si désespérément recherchées par l’économie. Ou alors est-ce intentionnel ? »
de sak