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Werner Kirstein : „Le virus de la dictature, plus dangereux que les coronavirus ?“
Depuis le début de la pandémie de Covid, tout un flot de nouvelles lois, d'interdictions et de restrictions nous est parvenu. Un nouveau virus de la dictature s'est-il développé parallèlement au virus du coronavirus, et serait-il beaucoup plus dangereux ? Werner Kirstein examine ces questions et bien d'autres dans son nouveau livre intitulé « Le virus de la dictature : plus dangereux que le coronavirus ? »[lire la suite]
Une caractéristique essentielle d'une dictature est, par exemple, l'interdiction des manifestations critiques à l'égard du gouvernement. C'est précisément ce qui a été appliqué avec force par la police dans la « dictature Merkel » de 2020. L'instrument était une politique de verrouillage sévère qui a poussé l'Allemagne à la limite du supportable. Derrière chaque dictature, se cache toujours un agenda idéologique. Les politiciens n'ont-ils rien appris du passé ? – Ces questions et bien d'autres sont examinées par l'auteur, le professeur Werner Kirstein, dans son nouveau livre intitulé « Le virus de la dictature : plus dangereux que le coronavirus ? »
Werner Kirstein, climatologue et physicien expérimenté, y aborde les questions et les sujets de discussion désagréables, que les grands médias ont cachés ou laissés de côté. Ce livre relate sans ménagement les faits tels qu’ils se sont produits jusqu'à présent. Des parallèles surprenants apparaissent entre l'hystérie climatique et l'hystérie virale.
Le danger que représente le coronavirus est relativement faible par rapport aux virus de la grippe qui surviennent chaque année. Cependant, la politique en a fait un problème pour de nombreuses personnes. Les politiciens y voient maintenant une excellente occasion de dissimuler l'échec de leurs politiques économiques et financières au moyen d’une pandémie virale prétendument « inévitable ».
Ce qui n'a pas été obtenu par le biais de l'hystérie écologique et climatique doit maintenant être évoqué par le biais d’un virus supposé dangereux. Par la peur et la panique, les politiciens veulent mettre les gens à genoux. Cependant, ce calcul ne marche pas. La politique « pense » de manière beaucoup trop simpliste. Il y a un manque de bon sens et de pensée logique. Tous les citoyens ne se laissent pas mener par le bout du nez !
Les plans absurdes ont atteint leur sommet avec le schéma de pensée de Klaus Schwab du Forum économique mondial (FEM). Ses fantasmes insensés d'un « Great Reset » ou d'un « Nouvel Ordre Mondial » sont partiellement arrivés dans l'idéologie politique.
Toutefois, selon Werner Kirstein, outre les juges courageux, le récent référendum en Suisse contre la loi sur le CO2 (juin 2021) permet d'espérer que la raison reprendra le dessus.
de
jo./ts.
Sources / Liens :
Buch von Prof. Dr. Werner Kirstein:
„Diktaturvirus – gefährlicher als Coronaviren? Sind viele Politiker schon infiziert?“,
Mai 2021, All-Stern-Verlag
Als Ergänzung empfiehlt Dr. Kirstein das Buch von Hans Hofmann-Reinecke:
„Grün und Dumm - Die Natur lässt sich nicht zum Narren halten“ (2020).
Werner Kirstein : „Le virus de la dictature, plus dangereux que les coronavirus ?“
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22.07.2021 | www.kla.tv/19346
Une caractéristique essentielle d'une dictature est, par exemple, l'interdiction des manifestations critiques à l'égard du gouvernement. C'est précisément ce qui a été appliqué avec force par la police dans la « dictature Merkel » de 2020. L'instrument était une politique de verrouillage sévère qui a poussé l'Allemagne à la limite du supportable. Derrière chaque dictature, se cache toujours un agenda idéologique. Les politiciens n'ont-ils rien appris du passé ? – Ces questions et bien d'autres sont examinées par l'auteur, le professeur Werner Kirstein, dans son nouveau livre intitulé « Le virus de la dictature : plus dangereux que le coronavirus ? » Werner Kirstein, climatologue et physicien expérimenté, y aborde les questions et les sujets de discussion désagréables, que les grands médias ont cachés ou laissés de côté. Ce livre relate sans ménagement les faits tels qu’ils se sont produits jusqu'à présent. Des parallèles surprenants apparaissent entre l'hystérie climatique et l'hystérie virale. Le danger que représente le coronavirus est relativement faible par rapport aux virus de la grippe qui surviennent chaque année. Cependant, la politique en a fait un problème pour de nombreuses personnes. Les politiciens y voient maintenant une excellente occasion de dissimuler l'échec de leurs politiques économiques et financières au moyen d’une pandémie virale prétendument « inévitable ». Ce qui n'a pas été obtenu par le biais de l'hystérie écologique et climatique doit maintenant être évoqué par le biais d’un virus supposé dangereux. Par la peur et la panique, les politiciens veulent mettre les gens à genoux. Cependant, ce calcul ne marche pas. La politique « pense » de manière beaucoup trop simpliste. Il y a un manque de bon sens et de pensée logique. Tous les citoyens ne se laissent pas mener par le bout du nez ! Les plans absurdes ont atteint leur sommet avec le schéma de pensée de Klaus Schwab du Forum économique mondial (FEM). Ses fantasmes insensés d'un « Great Reset » ou d'un « Nouvel Ordre Mondial » sont partiellement arrivés dans l'idéologie politique. Toutefois, selon Werner Kirstein, outre les juges courageux, le récent référendum en Suisse contre la loi sur le CO2 (juin 2021) permet d'espérer que la raison reprendra le dessus.
de jo./ts.