Ce site Web utilise des cookies. Les cookies nous aident dans nos services. En utilisant nos services, vous acceptez que nous puissions installer des cookies. Vos données sont en sécurité chez nous. Nous ne transmettons aucune de vos analyses ou données de contact à des tiers ! Vous trouverez de plus amples informations dans la déclaration de protection des données.
Quiconque n'est pas assez « occidental », c'est-à-dire capitaliste libéral ou favorable aux USA, se retrouve dans la ligne de mire du milliardaire George Soros. Le Venezuela, par exemple, poursuit le but d'un regroupement latino-américain indépendant. La Fondation « Open Society » de George Soros admet ouvertement vouloir renverser le gouvernement vénézuélien[lire la suite]
La multinationale Smartmatic, qui fabrique des ordinateurs de vote, a déclaré faux le résultat de l’élection à l’Assemblée constituante du Venezuela au printemps 2018. C’est pourquoi le gouvernement vénézuélien, qui poursuit le but d’un regroupement latino-américain indépendant, est constamment dénoncé dans les cercles occidentaux. Les gens qui connaissent la situation ne peuvent donc pas s’étonner que ce groupe travaille en étroite collaboration avec la Fondation « Open Society » de George Soros. Cette fondation admet ouvertement qu’elle veut renverser le gouvernement vénézuélien. Mark Malloch Brown, PDG de Smartmatic, est aussi président du think tank international « International Crisis Group », qui est lui-même également cofinancé par Soros. Depuis un certain temps cette organisation réclame également un changement de régime au Venezuela. Les fondations du milliardaire George Soros sont connues pour leur implication dans le monde entier dans le renversement caché de gouvernements de pays qui ne sont pas suffisamment « occidentaux », c’est-à-dire capitalistes libéraux ou favorables aux USA. Selon la Charte des Nations Unies, il est strictement interdit d’intervenir dans les affaires intérieures d’un État. Cette loi ne devrait-elle pas s’appliquer également au milliardaire Soros ?
12.01.2019
La multinationale Smartmatic, qui fabrique des ordinateurs de vote, a déclaré faux le résultat de l’élection à l’Assemblée constituante du Venezuela au printemps 2018. C’est pourquoi le gouvernement vénézuélien, qui poursuit le but d’un regroupement latino-américain indépendant, est constamment dénoncé dans les cercles occidentaux. Les gens qui connaissent la situation ne peuvent donc pas s’étonner que ce groupe travaille en étroite collaboration avec la Fondation « Open Society » de George Soros. Cette fondation admet ouvertement qu’elle veut renverser le gouvernement vénézuélien. Mark Malloch Brown, PDG de Smartmatic, est aussi président du think tank international « International Crisis Group », qui est lui-même également cofinancé par Soros. Depuis un certain temps cette organisation réclame également un changement de régime au Venezuela. Les fondations du milliardaire George Soros sont connues pour leur implication dans le monde entier dans le renversement caché de gouvernements de pays qui ne sont pas suffisamment « occidentaux », c’est-à-dire capitalistes libéraux ou favorables aux USA. Selon la Charte des Nations Unies, il est strictement interdit d’intervenir dans les affaires intérieures d’un État. Cette loi ne devrait-elle pas s’appliquer également au milliardaire Soros ?
de ab.