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Mi-juin 2017 l’organisation des droits de l’homme, Human Rights Watch avait reproché à la coalition anti-EI, dirigée par les USA, d’avoir utilisé du phosphore blanc lors d’attaques en Irak et en Syrie. En plus d’effets de brûlures et de blessures qui guérissent mal, le phosphore blanc dégage des vapeurs hautement toxiques (gaz toxique). Déjà l’absorption de 50 mg est mortelle pour un adulte, avec une agonie cruelle de 5 à 10 jours. Au mois d’avril 2017 dans la ville syrienne de Khan Cheikhoun du gaz toxique a été utilisé. Bien qu’il n’ait pas été éclairci jusqu’à aujourd’hui qui en est responsable, le président américain Trump a immédiatement désigné le gouvernement syrien comme coupable, et comme acte de vengeance il a fait tirer des missiles sur l’aéroport militaire d’Al-Shayrat. Au niveau international on a même envisagé de demander des comptes au président syrien Assad devant la cour de justice internationale. Mais pourquoi d’autres règles sont-elles valables pour le gouvernement américain après l’utilisation de phosphore blanc ? Est-ce que ce cas-là ne devrait pas être examiné immédiatement par des experts internationaux ? Et si les accusations sont fondées, ne faudrait-il pas demander des comptes à la coalition anti-EI dirigée par les USA ?
from pg.
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Mi-juin 2017 l’organisation des droits de l’homme, Human Rights Watch avait reproché à la coalition anti-EI, dirigée par les USA, d’avoir utilisé du phosphore blanc lors d’attaques en Irak et en Syrie. [continue reading]