« Sauver le climat » au prix des enfants !?

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25.09.2017 | www.kla.tv/11170

La fonte annuelle des glaciers provoquée par les chaudes journées d’été a conduit à ce que le changement climatique soit à nouveau un sujet discuté dans les médias principaux. Les quotidiens suisses titraient : « Glaciers suisses : la glace fond à une vitesse record » ou « Drame autour du glacier dans la région bernoise ». La raison semble être évidente : L’homme est responsable du fort recul des glaciers. Le réchauffement de la terre est prétendument en relation directe avec l’émission de CO2 dans l’atmosphère, qui a beaucoup augmenté par la combustion d’énergies fossiles comme le charbon, le gaz naturel ou le pétrole. En réalité la surface des glaciers en Suisse a diminué de moitié pendant les 166 dernières années. Mais la question de savoir si cela est dû au « changement climatique causé par l’homme » est une question très controversée parmi les scientifiques climatiques. Il est bien connu par exemple qu’il n’y avait pas de glaciers dans le Valais au 13ème siècle et que ceux-ci ne sont réapparus qu’avec la petite période glaciaire du Moyen-Age, de 1400 à 1850. (www.kla.tv/11030) Le glaciologue autrichien Heinrich Miller dit à ce sujet : « Aucun scientifique ne nie le réchauffement climatique mondial, c’est ainsi que fonctionne la planète terre depuis quelques millions d’années – un coup plus chaud, un coup plus froid. Nous les hommes, nous pouvons observer cela avec attention, certes, mais nous ne pouvons rien y changer. » Le géologue et professeur Jan Veizer de l’Université de Bochum en est également venu à la conclusion suivante : « Il y a 300 millions d’années les concentrations de CO2 étaient de dix à vingt fois plus élevées qu’aujourd’hui. En même temps c’était une période glaciaire. » A travers les informations incessantes des médias établis sur le changement climatique prétendument alarmant, beaucoup de personnes sont mises dans un état de peur et développent un sentiment de culpabilité. La population réfléchit de plus en plus à des façons de réduire ses émissions de CO2 pour protéger le climat. Un article du magazine suisse gratuit « 20 minutes » du 10 août a publié de nouveaux « conseils pour le comportement des principaux responsables » du changement climatique. Il titre : « Les adorables producteurs de CO2. Les bébés sont mignons mais ce sont les pires destructeurs du climat. » Cet article évoque une étude récemment publiée par deux chercheurs suédois. Ceux-ci conseillent comme mesure individuelle la plus efficace contre le changement climatique, d’avoir moins d’enfants. L’un d’entre eux, Seth Wyness de l’Université suédoise de Lund explique littéralement : « La conclusion à laquelle nous sommes arrivés, c’est qu’il existe quatre mesures pour diminuer de manière décisive les émissions personnelles de CO2 : avoir une alimentation végétarienne, renoncer à prendre l’avion et la voiture – et faire moins d’enfants. » Renoncer à la voiture économise 2,4 tonnes par an de dioxyde de carbone nocif pour le climat. Selon le calcul des chercheurs une alimentation végétarienne économise 0,8 tonnes de CO2 par an et renoncer à l’avion diminue les émissions de CO2 de 1,6 tonne en moyenne par an. Mais d’après l’étude, renoncer à avoir des enfants est de loin le moyen le plus efficace dans la lutte contre le réchauffement climatique car chaque enfant qui n’est pas mis au monde représente une réduction de CO2 de 58,6 tonnes par an. L’équipe de chercheurs écrit : « Une famille américaine qui décide d’avoir moins d’enfants contribue dans la même mesure à la réduction d’émissions de CO2 que 684 jeunes qui décident de recycler systématiquement leurs déchets jusqu’à la fin de leur vie. » D’après eux, le contrôle des naissances et la surpopulation de la terre, qui sont des sujets liés entre eux, devraient entrer dans les manuels scolaires et dans les écoles en général. La famille nombreuse traditionnelle doit être stigmatisée comme style de vie nuisible au climat, écrivent les chercheurs suédois. Pardon ? Oui, vous avez bien entendu : à l’avenir le contrôle des naissances ne sera plus une affaire privée mais – comme déjà d’autres domaines de notre vie – soumis au « sauvetage du climat ». Comment est-ce que des gens peuvent en venir à une idée aussi absurde et tordue qu’il faudrait stopper la croissance démographique en raison du CO2 rejeté par l’homme, ce qui d’un point de vue mathématique ne représente que 0,00152% de la composition de notre air (www.kla.tv/10106) ? La publication de cette étude suédoise a pourtant déjà fait réagir un grand nombre de critiques. Ceux-ci remarquent que « la lutte contre le changement climatique » prend des airs de plus en plus méprisants envers l’homme. Avec la pétition « Avoir des enfants n’est pas une péché contre l’environnement ! » ils exigent de l’Université de Lund qu’elle élimine immédiatement cette étude de son site web et qu’elle prenne ses distances vis-à-vis de ses auteurs et de ces thèses méprisantes envers l’homme. Dans une lettre à cette université ils écrivent : « Mis à part le fait qu’il est scientifiquement très controversé et douteux que le changement climatique soit vraiment dû à l’homme, il est absolument cynique et méprisant envers l’homme de sacrifier des enfants pour « la protection du climat ». Les enfants sont l’avenir de tous. La baisse des émissions de CO2 ne peut pas être au prix de la dignité humaine ! » : C’est donc cela, le but évident de toute cette hystérie organisée autour du « sauvetage du climat » ; il ne viendrait jamais à l’idée d’une personne normale de penser que la population terrestre, l’humanité comme telle doit être réduite ! Cela rappelle de manière effrayante les « Georgia Guidestones » situées dans l’Etat fédéral de Georgie aux Etats-Unis. Sur cet énorme monument de granit une exigence est gravée en huit langues disant que « l’humanité doit être maintenue au-dessous de 500 millions en équilibre perpétuel avec la nature ». Cela voudrait dire que la population mondiale devrait être réduite de plus de 90%. Ce qui était jusqu’à présent rejeté comme théorie de conspiration complètement incroyable, c’est-à-dire la réduction ciblée de la population au moyen des guerres, des famines, des programmes de contraception, des médicaments etc. – prend maintenant des contours de plus en plus concrets et pratiques : le contrôle des naissances doit à l’avenir être soumis au « noble » but de « sauver le climat » et donc être retiré à la décision privée. Serait-il possible que derrière le prétendu « sauvetage du climat » se trouvent les même instigateurs qui pour réaliser leur ambition « d’un nouvel ordre mondial » recherchent en même temps à réduire de façon massive la population mondiale ? Vous trouvez plus d’informations sur le sujet des Georgia Guidestones dans notre documentaire portant le même titre. (www.kla.tv/5419)

de rg./dd.

Sources/Liens : https://interaktiv.derbund.ch/2017/gletscherschwund/?openincontroller
https://www.nzz.ch/panorama/schweizer-gletscher-das-eis-schmilzt-im-rekordtempo-ld.1305203
https://de.wikipedia.org/wiki/Fossile_Energie
http://www.20min.ch/wissen/news/story/26215450
https://kurier.at/leben/wer-das-klima-retten-will-sollte-keine-kinder-bekommen/274.912.938
https://www.patriotpetition.org/2017/08/07/kinderkriegen-ist-keine-umweltsuende/
https://www.nzz.ch/lebensart/gesellschaft/interview-paul-r-ehrlich-ein-kind-pro-frau-mehr-nicht-ld.16751
http://www.stern.de/panorama/wissen/umweltstudie---20-bmw-schaedigen-das-klima-weniger-als-ein-baby-7539938.html?utm_campaign=social-flow&utm_source=facebook-fanpage&utm_medium=link
http://www.guenter-ederer.de/wp-content/uploads/2011/07/Essay-05072011.pdf
https://de.wikipedia.org/wiki/Georgia_Guidestones