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La faillite des Etats est-elle programmée au moyen du Covid ?
Les politiciens n’envisagent qu’un seul moyen de combattre les conséquences du Covid : l’aide financière. Beaucoup ne réalisent pas qu'ils sont financés par la dette. Ce qui semble n'avoir aucune alternative pourrait en fait être un plan secret – et le Covid ne serait qu’un moyen d’en détourner l’attention.[lire la suite]
Aujourd’hui nombreux sont ceux qui soupçonnent la crise du Covid de n’être là que pour détourner l’attention de sujets entièrement différents. Par exemple, des programmes d'aide financés par la dette et d'un montant faramineux sont lancés au motif d'une menace pour la santé. Etant donné que ces montagnes de dettes ne pourront probablement jamais être remboursées, la question se pose de savoir si elles servent réellement à lutter contre la crise ou si elles ont un tout autre arrière-plan.
Dans son discours prononcé à Munich le 14 février 2021, l'avocat Markus Haintz a mis en évidence un lien possible entre la politique actuelle du Covid et une faillite nationale imminente des pays de la zone européenne. Il explique que dans le Mécanisme Européen de Stabilité (MES), qui a été introduit après la crise financière de 2007/2008, on a préparé la privatisation de pays entiers par les créanciers (c'est-à-dire les banques) des pays concernés. On a établi qu'un État insolvable n'était plus autorisé à essayer lui-même de sortir de l'insolvabilité, mais que cela devait passer par les créanciers. Selon l'avocat, il est possible que les pays européens soient actuellement « délibérément conduits contre le mur » et que les États soient endettés contre la volonté de leurs citoyens afin de permettre aux banques prêteuses d'accéder aux capitaux des États-Nations par le biais d'une faillite d'État.
D’abord, cette thèse semble absurde, mais une procédure similaire a été utilisée régulièrement auparavant par le FMI (Fonds Monétaire International). Selon l'expert financier Ernst Wolff cela fonctionne comme suit : Si un pays est au bord de l'insolvabilité, le FMI lui accorde des prêts pour éviter la faillite, sous réserve de conditions strictes. Afin de pouvoir rembourser les prêts, il faut que les pays concernés, par exemple, privatisent des entreprises publiques, augmentent les impôts ou réduisent les prestations sociales dans le cadre de programmes dits d'austérité. En conséquence, les structures de l'État deviennent défaillantes et la population s'appauvrit. L'argent de l'État et de ses citoyens va aux créanciers.
Par le passé, ces pillages de l'État ont souvent entraîné des troubles sociaux et une résistance au sein de la population. Aujourd'hui, alors que la population européenne est distraite par la crise du Covid, la plus grande redistribution de tous les temps pourrait déjà être en cours – et cela sans que nous nous en rendions compte.
Texte de l'émission
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20.05.2021 | www.kla.tv/18802
Aujourd’hui nombreux sont ceux qui soupçonnent la crise du Covid de n’être là que pour détourner l’attention de sujets entièrement différents. Par exemple, des programmes d'aide financés par la dette et d'un montant faramineux sont lancés au motif d'une menace pour la santé. Etant donné que ces montagnes de dettes ne pourront probablement jamais être remboursées, la question se pose de savoir si elles servent réellement à lutter contre la crise ou si elles ont un tout autre arrière-plan. Dans son discours prononcé à Munich le 14 février 2021, l'avocat Markus Haintz a mis en évidence un lien possible entre la politique actuelle du Covid et une faillite nationale imminente des pays de la zone européenne. Il explique que dans le Mécanisme Européen de Stabilité (MES), qui a été introduit après la crise financière de 2007/2008, on a préparé la privatisation de pays entiers par les créanciers (c'est-à-dire les banques) des pays concernés. On a établi qu'un État insolvable n'était plus autorisé à essayer lui-même de sortir de l'insolvabilité, mais que cela devait passer par les créanciers. Selon l'avocat, il est possible que les pays européens soient actuellement « délibérément conduits contre le mur » et que les États soient endettés contre la volonté de leurs citoyens afin de permettre aux banques prêteuses d'accéder aux capitaux des États-Nations par le biais d'une faillite d'État. D’abord, cette thèse semble absurde, mais une procédure similaire a été utilisée régulièrement auparavant par le FMI (Fonds Monétaire International). Selon l'expert financier Ernst Wolff cela fonctionne comme suit : Si un pays est au bord de l'insolvabilité, le FMI lui accorde des prêts pour éviter la faillite, sous réserve de conditions strictes. Afin de pouvoir rembourser les prêts, il faut que les pays concernés, par exemple, privatisent des entreprises publiques, augmentent les impôts ou réduisent les prestations sociales dans le cadre de programmes dits d'austérité. En conséquence, les structures de l'État deviennent défaillantes et la population s'appauvrit. L'argent de l'État et de ses citoyens va aux créanciers. Par le passé, ces pillages de l'État ont souvent entraîné des troubles sociaux et une résistance au sein de la population. Aujourd'hui, alors que la population européenne est distraite par la crise du Covid, la plus grande redistribution de tous les temps pourrait déjà être en cours – et cela sans que nous nous en rendions compte.
de mik.
ab 13:30 Auszug aus dem ESM: https://ec.europa.eu/commission/presscorner/detail/de/DOC_12_3
siehe: „(12) Entsprechend der Praxis des IMF ist in Ausnahmefällen eine Beteiligung des Privatsektors in angemessener und verhältnismäßiger Form in Fällen in Betracht zu ziehen, in denen die Stabilitätshilfe in Verbindung mit Auflagen in Form eines makroökonomischen Anpassungsprogramms gewährt wird.“ „Weltmacht IWF – Chronik eines Raubzuges“, Ernst Wolff, 2014 Das Pandemie-Anleihekaufprogramm PEPP ist mittlerweile auf einer Höhe von 1,85 Billionen Euro angelegt: https://www.n-tv.de/wirtschaft/der_boersen_tag/Steigende-Anleiherendite-EZB-hat-noetige-Munition-article22396497.html
Zum Vergleich belief sich das Bruttoinlandsprodukt der Eurozone auf 11,92 Billionen: https://de.statista.com/statistik/daten/studie/222901/umfrage/bruttoinlandsprodukt-bip-in-der-europaeischen-union-eu
Damit beträgt die PEPP-Schuldenhöhe ca. ein Sechstel des Bruttoinlandsprodukts der Eurozone.