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Selon les résultats de recherches de scientifiques renommés, la cause du réchauffement climatique ne peut pas être imputée à l’homme. Nous avons parlé en détail de ce sujet dans notre émission du 23 décembre « COP 21 à Paris ».
Nous allons aujourd’hui nous demander à qui cela sert, si des moyens financiers énormes sont nécessaires pour combattre le réchauffement climatique prétendument causé par le CO2.
D’abord nous allons examiner les buts climatiques que la COP 21 a définis comme devant être obligatoire-ment atteints pour limiter le CO2 :
- La production d’énergie par les matières première fossiles, c’est-à-dire non renouvelables, doit être réduite ; il s’agit de matières premières comme le charbon, ainsi que du pétrole et du gaz naturel faussement classifiés comme fossiles. Au lieu de cela on doit investir dans des énergies renouvelables, telles que le vent et le soleil.
- Le mieux serait de motiver les 195 pays à s’engager tous par rapport aux buts climatiques.
- D’autre part, les pays industrialisés riches doivent soutenir financièrement les pays plus pauvres en voie de développement et qui souffrent prétendument à cause du changement climatique.
A cet endroit nous mentionnons qu’il y a certes des problèmes environnementaux très graves dans les pays en voie de développement, comme par exemple la sécheresse ou les inondations à la suite de déforestation massive. Mais les causes de ces problèmes n’ont rien à voir avec l’émission de CO2.
Quelles sont maintenant les conséquences financières mondiales des décisions prises pour limiter le CO2 ?
Déjà depuis 1997 une limitation des émissions de ce qu’on appelle les « gaz à effet de serre » a été mise sur papier dans le protocole de Kyoto. A chaque pays signataire revient une valeur seuil spécifique qu’il n’a pas le droit de dépasser pour les émissions de ces gaz.
Depuis, un marché intense s’est développé avec les droits d’émission et certificats de CO2 en question. Des entreprises qui dépassent leur quota de CO2 peuvent acheter des parts de quotas libres à d’autres entreprises qui n’ont pas utilisé les leurs. Ou bien ils vont à la bourse, où l’on spécule désormais activement avec les quotas d’émissions. D’après les règles de l’offre et de la demande, une forte hausse des prix pour les certificats – de l’ordre de billions – est programmée d’avance chaque fois que de nouvelles baisses des émissions de CO2 sont décidées. Une grande partie du marché des émissions de CO2 est contrôlée par le groupe de marché à terme américain « ICE Futures US ». Celui-ci se trouve entre les mains de grandes banques telles que Goldman Sachs, J.P. Morgan, Bank of America et Citigroup.
Si on considère l’énorme potentiel de gain lié au marché des émissions de CO2 on comprend rapidement pourquoi tout est mis en œuvre pour motiver l’ensemble des 195 pays participants de la conférence sur le cli-mat à abaisser leurs émissions de CO2. Au travers d’un travail de lobby sans précédent et d’une intense propagande médiatique, ainsi qu’au travers de promesses d’investir des milliards dans des pays pauvres, on a réussi à faire accepter des mesures prétendument destinées à sauver le climat. Une fois que suffisamment de pays participeront, on pourra progressivement passer à la spirale dictatoriale globale du climat.
A présent se dessine le gigantesque appareil de pouvoir et de contrôle en direction duquel se développe ce conseil du climat, en mettant en place un système de limitation globale des émissions de CO2. Cela ne mène à rien de moins qu’au contrôle total de la production énergétique mondiale, dont quelques grandes banques sont finalement les bénéficiaires.
Texte de l'émission
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31.12.2015 | www.kla.tv/7428
Selon les résultats de recherches de scientifiques renommés, la cause du réchauffement climatique ne peut pas être imputée à l’homme. Nous avons parlé en détail de ce sujet dans notre émission du 23 décembre « COP 21 à Paris ». Nous allons aujourd’hui nous demander à qui cela sert, si des moyens financiers énormes sont nécessaires pour combattre le réchauffement climatique prétendument causé par le CO2. D’abord nous allons examiner les buts climatiques que la COP 21 a définis comme devant être obligatoire-ment atteints pour limiter le CO2 : - La production d’énergie par les matières première fossiles, c’est-à-dire non renouvelables, doit être réduite ; il s’agit de matières premières comme le charbon, ainsi que du pétrole et du gaz naturel faussement classifiés comme fossiles. Au lieu de cela on doit investir dans des énergies renouvelables, telles que le vent et le soleil. - Le mieux serait de motiver les 195 pays à s’engager tous par rapport aux buts climatiques. - D’autre part, les pays industrialisés riches doivent soutenir financièrement les pays plus pauvres en voie de développement et qui souffrent prétendument à cause du changement climatique. A cet endroit nous mentionnons qu’il y a certes des problèmes environnementaux très graves dans les pays en voie de développement, comme par exemple la sécheresse ou les inondations à la suite de déforestation massive. Mais les causes de ces problèmes n’ont rien à voir avec l’émission de CO2. Quelles sont maintenant les conséquences financières mondiales des décisions prises pour limiter le CO2 ? Déjà depuis 1997 une limitation des émissions de ce qu’on appelle les « gaz à effet de serre » a été mise sur papier dans le protocole de Kyoto. A chaque pays signataire revient une valeur seuil spécifique qu’il n’a pas le droit de dépasser pour les émissions de ces gaz. Depuis, un marché intense s’est développé avec les droits d’émission et certificats de CO2 en question. Des entreprises qui dépassent leur quota de CO2 peuvent acheter des parts de quotas libres à d’autres entreprises qui n’ont pas utilisé les leurs. Ou bien ils vont à la bourse, où l’on spécule désormais activement avec les quotas d’émissions. D’après les règles de l’offre et de la demande, une forte hausse des prix pour les certificats – de l’ordre de billions – est programmée d’avance chaque fois que de nouvelles baisses des émissions de CO2 sont décidées. Une grande partie du marché des émissions de CO2 est contrôlée par le groupe de marché à terme américain « ICE Futures US ». Celui-ci se trouve entre les mains de grandes banques telles que Goldman Sachs, J.P. Morgan, Bank of America et Citigroup. Si on considère l’énorme potentiel de gain lié au marché des émissions de CO2 on comprend rapidement pourquoi tout est mis en œuvre pour motiver l’ensemble des 195 pays participants de la conférence sur le cli-mat à abaisser leurs émissions de CO2. Au travers d’un travail de lobby sans précédent et d’une intense propagande médiatique, ainsi qu’au travers de promesses d’investir des milliards dans des pays pauvres, on a réussi à faire accepter des mesures prétendument destinées à sauver le climat. Une fois que suffisamment de pays participeront, on pourra progressivement passer à la spirale dictatoriale globale du climat. A présent se dessine le gigantesque appareil de pouvoir et de contrôle en direction duquel se développe ce conseil du climat, en mettant en place un système de limitation globale des émissions de CO2. Cela ne mène à rien de moins qu’au contrôle total de la production énergétique mondiale, dont quelques grandes banques sont finalement les bénéficiaires.
de Anne G.