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Bolivie : l’essor après l’expulsion des trusts étrangers
La Bolivie est en plein essor depuis l'expulsion des trusts étrangers. Evo Morales Ayma est le premier président autochtone de la Bolivie. Cinq mois après son entrée en fonctions en 2006, il a rempli l’une de ses promesses électorales les plus importantes en nationalisant le pétrole et le gaz naturel.[lire la suite]
La Bolivie est en plein essor depuis l'expulsion des trusts étrangers. Evo Morales Ayma est le premier président autochtone de la Bolivie. Cinq mois après son entrée en fonctions en 2006, il a rempli l’une de ses promesses électorales les plus importantes en nationalisant le pétrole et le gaz naturel. Sous son gouvernement une nouvelle constitution a été élaborée, qui a interdit aux trusts étrangers l’accès aux ressources naturelles boliviennes. En 2008, quand l’ambassadeur américain Philip Goldberg a accusé le président bolivien d’avoir attisé et soutenu des émeutes violentes, la Bolivie l’a déclaré persona non grata et l’a expulsé du pays. Mais bien que les Etats-Unis tentent depuis des années de déstabiliser son gouvernement, Morales a le vent en poupe. Il a réussi à réduire le taux de chômage de 9 à 3 % et le nombre de pauvres a baissé, au cours de ses dix ans de mandat, de 38 à 18%. Ces effets positifs se font sentir apparemment parce qu’il a interdit aux trusts étrangers l'accès aux ressources naturelles boliviennes.
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12.05.2016 | www.kla.tv/8276
La Bolivie est en plein essor depuis l'expulsion des trusts étrangers. Evo Morales Ayma est le premier président autochtone de la Bolivie. Cinq mois après son entrée en fonctions en 2006, il a rempli l’une de ses promesses électorales les plus importantes en nationalisant le pétrole et le gaz naturel. Sous son gouvernement une nouvelle constitution a été élaborée, qui a interdit aux trusts étrangers l’accès aux ressources naturelles boliviennes. En 2008, quand l’ambassadeur américain Philip Goldberg a accusé le président bolivien d’avoir attisé et soutenu des émeutes violentes, la Bolivie l’a déclaré persona non grata et l’a expulsé du pays. Mais bien que les Etats-Unis tentent depuis des années de déstabiliser son gouvernement, Morales a le vent en poupe. Il a réussi à réduire le taux de chômage de 9 à 3 % et le nombre de pauvres a baissé, au cours de ses dix ans de mandat, de 38 à 18%. Ces effets positifs se font sentir apparemment parce qu’il a interdit aux trusts étrangers l'accès aux ressources naturelles boliviennes.
de von nms.