Ce site Web utilise des cookies. Les cookies nous aident dans nos services. En utilisant nos services, vous acceptez que nous puissions installer des cookies. Vos données sont en sécurité chez nous. Nous ne transmettons aucune de vos analyses ou données de contact à des tiers ! Vous trouverez de plus amples informations dans la déclaration de protection des données.
Sous le terme de « Service de protection » on veut légitimer les placements abusifs
Les reportages se multiplient, qui montrent que de façon totalement abusive, le KESB « Service de protection suisse des enfants et des adultes » enlève des personnes à leur famille et impose leur placement. [lire la suite]
Les reportages se multiplient, qui montrent que de façon totalement abusive, le KESB « Service de protection suisse des enfants et des adultes » enlève des personnes à leur famille et impose leur placement. Ainsi le KESB du canton de Linth a envoyé la police dans la salle de classe chercher un garçonnet âgé de huit ans à l’époque. La raison en était que selon le KESB la mère célibataire ne pouvait pas assumer correctement ses obligations maternelles parce qu’elle travaillait à temps plein. Et cela alors que pendant la journée la grand-mère s’occupait bien du garçonnet. La mère désespérée n’a été informée que deux ans plus tard du lieu où avait été amené son fils… Dans un autre cas, on a interdit à la sœur d’un handicapé mental de s’occuper de son frère parce que, selon le KESB, elle n’aurait pas été assez professionnelle. Par la suite, il a été interdit à la femme d’entrer (dans la maison commune), le frère a été emmené dans une institution et le KESB a vendu la maison pour payer les frais d’hébergement du frère… Dans certains cas, la désignation de « Service de protection des enfants et des adultes », n’a rien à voir avec la protection des enfants et des adultes, mais sert plutôt de légitimation au placement, ce que le bon sens humain appellerait plutôt un crime !
Texte de l'émission
à télécharger
21.11.2016 | www.kla.tv/9417
Les reportages se multiplient, qui montrent que de façon totalement abusive, le KESB « Service de protection suisse des enfants et des adultes » enlève des personnes à leur famille et impose leur placement. Ainsi le KESB du canton de Linth a envoyé la police dans la salle de classe chercher un garçonnet âgé de huit ans à l’époque. La raison en était que selon le KESB la mère célibataire ne pouvait pas assumer correctement ses obligations maternelles parce qu’elle travaillait à temps plein. Et cela alors que pendant la journée la grand-mère s’occupait bien du garçonnet. La mère désespérée n’a été informée que deux ans plus tard du lieu où avait été amené son fils… Dans un autre cas, on a interdit à la sœur d’un handicapé mental de s’occuper de son frère parce que, selon le KESB, elle n’aurait pas été assez professionnelle. Par la suite, il a été interdit à la femme d’entrer (dans la maison commune), le frère a été emmené dans une institution et le KESB a vendu la maison pour payer les frais d’hébergement du frère… Dans certains cas, la désignation de « Service de protection des enfants et des adultes », n’a rien à voir avec la protection des enfants et des adultes, mais sert plutôt de légitimation au placement, ce que le bon sens humain appellerait plutôt un crime !
de sk./rb.
Artikel „Paragraphen-bestimmte Kontaktsperre“ aus „Schweizerzeit“ vom 18.03.16