La fonte des glaciers « causée par l’homme » ?

Texte de l'émission
à télécharger

PDF (.pdf)

Word (.docx)

19.04.2018 | www.kla.tv/12308

Les politiciens et les médias ne se lassent pas d'avertir, avec une régularité stoïque, des prétendus dangers du changement climatique. Selon eux le réchauffement climatique est directement lié à l'émission de CO2 dans l'atmosphère, qui a fortement augmenté avec la combustion des énergies fossiles. Un autre sujet récurrent est la fonte des glaciers suisses année après année. En fait, la superficie des glaciers a déjà diminué de moitié au cours des 166 dernières années. La thèse selon laquelle le changement climatique serait « causé par l'homme » est très controversée parmi les climatologues. Par exemple, on sait qu'il n'y avait pas de glaciers dans le canton suisse du Valais au 13e siècle et qu'ils n'ont recommencé à croître qu’au Petit Age glaciaire médiéval de 1400 à 1850. Néanmoins, dans les pays industrialisés, sous prétexte de protection du climat, les hommes sont saignés à blanc financièrement au moyen de taxes et de prélèvements de plus en plus nombreux et la révolution énergétique entre autres choses, est fortement encouragée, ce qui entraîne d'immenses coûts. Le passage des énergies fossiles (le pétrole, le charbon et le gaz) aux énergies dites renouvelables (le solaire, le vent et l'eau) est appelé transition énergétique. Rien qu'en Allemagne, la révolution énergétique devrait coûter aux contribuables environ 23 milliards d'euros par an. En Suisse aussi, avec la nouvelle loi sur l'énergie, la population est tenue de payer. L'avancement ciblé de la transition énergétique est donc basé, entre autres, sur la théorie de ce qu’on appelle le changement climatique « causé par l’homme ». On dit que la consommation humaine excessive de CO2 a conduit au réchauffement climatique. Mais est-ce vraiment le cas ? 1,2% des émissions annuelles totales de CO2 provient des énergies fossiles, et 2% provient de l'air que l’homme expire. Plus de 90% proviennent de sources sur lesquelles l'homme n'a aucune influence (mers, volcans, faune). L’air n’est composé que de 0,0038% de CO2. L'homme ne produit donc que 3,2% de 0,038%, soit 0,0012%. Et cette infime quantité est censée être responsable du changement climatique ? La déclaration du professeur Heinrich Miller, un scientifique des régions polaires autrichien, permet de dresser l’oreille. « Aucun scientifique ne nie le réchauffement mondial, c'est ainsi que la planète Terre fonctionne depuis quelques millions d'années – parfois il fait plus chaud, parfois il fait plus froid. Nous, les humains, nous pouvons l'observer avec intérêt, mais nous ne pouvons rien y changer. » Kla.TV démontre qu’en arrière plan les intérêts en jeu sont très différents de la protection du climat et veut encourager la population à être vigilante.

de rg./dd.

Sources/Liens : SOURCES : www.kla.tv/10903
www.kla.tv/10953
Zeitschrift Schweizerzeit, Nr. 12 vom 16.6.2017