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Le nouveau RGPD met en danger le travail de dévoilement
L’union européenne a adopté un règlement général européen sur la protection des données qui sera appliqué à partir du 25 mai 2018, prétendument pour protéger les usagers. Si on procède à un examen plus poussé, on doit constater cependant que ce sont seulement des instances de l’Etat et des personnalités publiques qui sont protégées de la critique. [lire la suite]
L’union européenne a adopté un règlement général européen sur la protection des données qui sera appliqué à partir du 25 mai 2018, prétendument pour protéger les usagers. Si on procède à un examen plus poussé, on doit constater cependant que ce sont seulement des instances de l’Etat et des personnalités publiques qui sont protégées de la critique. Il est évident que des disfonctionnements ne doivent pas être mis à la lumière et que le grand public ne doit pas être informé, ou mis en garde. Quand quelqu’un veut examiner de manière critique la politique, la justice ou la santé, si en dehors de son entourage personnel il veut faire un rapport ou diffuser quelque chose sur une personne physique concrète, il doit d’abord demander la permission de celle-ci. En cas d’infraction, il est menacé d’amendes de millions d’euros. Donc le RGPD se révèle être une muselière pour le travail de dévoilement. Combien de temps l’UE aura-t-elle encore le droit de faire impunément de telles lois aux apparences trompeuses ?
Texte de l'émission
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25.04.2018 | www.kla.tv/12338
L’union européenne a adopté un règlement général européen sur la protection des données qui sera appliqué à partir du 25 mai 2018, prétendument pour protéger les usagers. Si on procède à un examen plus poussé, on doit constater cependant que ce sont seulement des instances de l’Etat et des personnalités publiques qui sont protégées de la critique. Il est évident que des disfonctionnements ne doivent pas être mis à la lumière et que le grand public ne doit pas être informé, ou mis en garde. Quand quelqu’un veut examiner de manière critique la politique, la justice ou la santé, si en dehors de son entourage personnel il veut faire un rapport ou diffuser quelque chose sur une personne physique concrète, il doit d’abord demander la permission de celle-ci. En cas d’infraction, il est menacé d’amendes de millions d’euros. Donc le RGPD se révèle être une muselière pour le travail de dévoilement. Combien de temps l’UE aura-t-elle encore le droit de faire impunément de telles lois aux apparences trompeuses ?
de kbr.
http://document.kathtube.com/25807.pdf
www.bfdi.bund.de/SharedDocs/Publikationen/
Infobroschueren/INFO6.pdf%3F__blob%3DpublicationFile%26v%3D24