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Fini les études sur la « théorie du genre » en Bulgarie et en Hongrie
Les exemples de la Bulgarie et de la Hongrie montrent qu'il existe encore des juges et des gouvernements qui protègent avec succès les valeurs inscrites dans leur Constitution. Les deux gouvernements ont décidé d'abolir l’enseignement sur « la théorie du genre » dans leurs universités. Mais voyez par vous-mêmes.[lire la suite]
Fin juillet 2018, la Cour constitutionnelle de Bulgarie a jugé que la « Convention d'Istanbul » adoptée par le Conseil de l'Europe en 2011, violait la Constitution bulgare. La théorie du genre se réfère à cette convention avec son hypothèse scientifiquement insoutenable selon laquelle la répartition des sexes – homme et femme – n'est pas biologiquement justifiée, mais qu’elle s'est plutôt développée uniquement à travers les rôles sociaux. Comme cela relativise la frontière biologique entre l’homme et la femme, la Cour constitutionnelle bulgare a jugé inconstitutionnelle la « Convention d'Istanbul ». En conséquence, le gouvernement bulgare a décidé d'abolir l’enseignement sur « la théorie du genre » dans ses universités. De même, la Hongrie avait déjà interdit cet enseignement dans ses universités. Pour le gouvernement hongrois, la théorie du genre est une attaque contre la répartition traditionnelle des rôles et menace les fondements des familles chrétiennes.
De toute évidence, il y a encore des juges et des gouvernements qui protègent et préservent les valeurs inscrites dans leur Constitution contre les influences extérieures.
Bravo la Bulgarie et la Hongrie !
Texte de l'émission
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21.03.2019 | www.kla.tv/14047
Fin juillet 2018, la Cour constitutionnelle de Bulgarie a jugé que la « Convention d'Istanbul » adoptée par le Conseil de l'Europe en 2011, violait la Constitution bulgare. La théorie du genre se réfère à cette convention avec son hypothèse scientifiquement insoutenable selon laquelle la répartition des sexes – homme et femme – n'est pas biologiquement justifiée, mais qu’elle s'est plutôt développée uniquement à travers les rôles sociaux. Comme cela relativise la frontière biologique entre l’homme et la femme, la Cour constitutionnelle bulgare a jugé inconstitutionnelle la « Convention d'Istanbul ». En conséquence, le gouvernement bulgare a décidé d'abolir l’enseignement sur « la théorie du genre » dans ses universités. De même, la Hongrie avait déjà interdit cet enseignement dans ses universités. Pour le gouvernement hongrois, la théorie du genre est une attaque contre la répartition traditionnelle des rôles et menace les fondements des familles chrétiennes. De toute évidence, il y a encore des juges et des gouvernements qui protègent et préservent les valeurs inscrites dans leur Constitution contre les influences extérieures. Bravo la Bulgarie et la Hongrie !
de mwi/hag
www.journalistenwatch.com/2018/09/29/bulgarien-aus-gender/
www.liberties.eu/de/news/bulgariens-verfassungsgericht-vs-istanbulkonvention/15551