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Christoph Hoerstel : Soupçon d'assassinat du président tanzanien John Magufuli
Les principaux médias présentent la mort du président tanzanien John Magufuli comme le résultat possible d’une infection au Covid-19 et d'une insuffisance cardiaque. Mais selon Christoph Hoerstel, il existe des indices évidents de meurtre politique.[lire la suite]
Selon les médias, le président tanzanien John Magufuli, 61 ans, est mort d'une insuffisance cardiaque dans un hôpital de la ville tanzanienne de Dar es Salaam le 18 mars 2021.
M. Magufuli avait acquis une réputation en rejetant la politique du Covid-19 qui prévaut dans la plupart des États. Il doutait de la validité des tests Covid. Au printemps 2020, il a fait tester au hasard plusieurs échantillons non humains – dont ceux d'une papaye, d'une chèvre et d'un mouton – pour détecter la présence du Covid-19. Selon M. Magufuli, la chèvre et la papaye ont toutes deux été testées positives.
Le président tanzanien a remis en question la politique du Covid de l'OMS et des pays occidentaux. Depuis avril 2020, la Tanzanie a cessé de soumettre à l'OMS des statistiques sur le nombre de cas positifs au Covid. M. Magufuli n'a pas non plus fait confiance aux vaccins Covid. En janvier 2021, il a émis des doutes sur la vitesse avec laquelle ces vaccins étaient développés et mis sur le marché. Il a averti ses compatriotes de ne pas se laisser utiliser « comme cobayes » en matière de vaccins.
Pour ses commentaires et ses prises de position politiques sur la crise du Covid, M. Magufuli a été réprimandé par l'OMS. La directrice régionale de l'OMS pour l'Afrique, Matshidiso Moeti, a exhorté le gouvernement tanzanien à publier des données Covid fiables, à prendre des mesures anti Covid et à promouvoir l'administration de vaccins.
Ces dernières semaines, lorsque le président tanzanien a cessé de faire des apparitions publiques, les médias ont émis l'hypothèse que John Magufuli aurait pu contracter lui-même le Covid. Le Premier ministre Kassim Majaliwa a réfuté ces rumeurs qui visaient à discréditer la politique du gouvernement tanzanien à l'égard du Covid. Selon le groupe médiatique RND, il a souligné dans une allocution vidéo :
« Ces rumeurs sont diffusées par des Tanzaniens qui sont à l'extérieur du pays et ne sont pas favorables à ce pays. [...] Je plains ceux qui souhaitent que le président soit malade, en quoi cela les aiderait-il ? »
Le journaliste allemand, homme politique et dirigeant du parti Neue Mitte, Christoph Hörstel, commente les événements ainsi :
Nous sommes le jeudi 18 mars 2021 et la raison de cet exposé est triste.
Le président tanzanien John Magufuli est mort.
Nous adressons nos condoléances et nos bons vœux à sa famille, à ses amis, aux partisans de son parti et à l'ensemble du peuple tanzanien. Qu'il repose en paix ! Hier soir, les médias occidentaux ont rapporté à l'unanimité que l'histoire officielle était la suivante :
M. Magufuli a souffert pendant 10 ans de fibrillation ventriculaire, des troubles du rythme cardiaque. Il a été vu pour la dernière fois le 27 février. Selon la vice-présidente, qui va lui succéder, il a été hospitalisé le 6 mars, il est sorti le lendemain, puis de nouveau hospitalisé le 14 mars. Et il est décédé, mercredi, hier, vers 16 heures, heure locale, excusez-moi, 16 heures, notre heure. Pour donner une fausse piste du lieu d'hospitalisation du Président Magufuli, le service tanzanien de renseignement et de sécurité (TISS) a fait courir des rumeurs selon lesquelles il aurait été soigné au Kenya, pays avec lequel les relations ne sont pas très bonnes, puis en Inde, alors que John Magufuli se trouvait tout le temps dans la capitale tanzanienne.
Ensuite, il y a eu des rumeurs selon lesquelles M. Magufuli aurait contracté lui-même le Covid-19, elles ont été lancées depuis Bruxelles par le chef de l'opposition Tundu Lissu, et je dirais même plus, nourries. Mais nous savons aussi probablement que penser de celui qui a besoin de fuir à Bruxelles.
M. Magufuli était âgé de 61 ans. Sa carrière politique a été marquée par la lutte contre la corruption, et il a tenu ferme pour les grands projets et l’essor économique. Il a été réélu à l'été 2020 avec 84 % des voix et les accusations de fraude électorale ont été nombreuses. Son successeur est la vice-présidente Samia Suluhu Hassan et elle a fort à faire jusqu'à la fin de son mandat régulier, c'est-à-dire jusqu'en 2025.
J'ai pris connaissance de cette disparition vendredi dernier. Nous savons, grâce aux articles des journaux locaux, que dix Tanzaniens éminents sont morts au cours du seul mois de février. Parmi eux, il y a le vice-président âgé de 77 ans, et nous devons aussi considérer dans ce contexte la mort subite du président du Burundi, Pierre Nkurunziza, à l'été 2020, juste avant la passation de pouvoirs ; il n'avait que 55 ans. Il souhaitait remettre son poste à un successeur car sa réélection cinq ans plus tôt avait également été controversée et l'opposition s'était rassemblée contre lui, tout comme avec M. Magufuli.
D'où pensez-vous que cela vienne ? Il est difficile de croire que cela s'est produit sans ingérence extérieure, selon la méthode bien connue du changement de régime.
Pourquoi ai-je des soupçons de meurtre dans l'affaire Magufuli ? C'est déterminant et ce n'est pas prouvé. Non, je n'ai pas de preuve, j'ai juste un ensemble très fort d'indices circonstanciels et je veux vous les partager.
Il s'agit d'un cours accéléré sur le COVID du Nouvel Ordre Mondial, qui a un besoin urgent d'unité mondiale en raison des comparaisons constantes des chiffres de décès et d'infection, qui circulent par ailleurs dans les médias et qui montrent simplement qu'on peut très bien survivre sans régime Covid, en tant que peuple et en tant que gouvernement.
Ensuite, il y a une pression médiatique constante dans le monde entier contre les politiques libérales face au Covid-19. Le Portugal, la Suède, le Japon l'ont déjà expérimenté. Bien que la Suède, même sans une politique Covid, avance rapidement par rapport à l'implantation de la puce RFID. D'un autre côté ils ont reconnu la Palestine comme Etat, c'est aussi quelque chose qu'on ne fait pas selon l'OMS, et il faut observer combien de temps le chef du gouvernement sera encore en bonne santé.
Ensuite, il y a eu des incitations financières, de 80 à 90 millions de dollars au départ. Puis plus de 900 millions de dollars proposé au président Lukashenko du Bélarus enfin de la Biélorussie. Et alors en 2020, après le refus des subventions financières, une tentative de putch a échoué. Après avoir rejeté ces conditions pour le crédit de plus de 900 millions de dollars, M. Lukashenko a donné une conférence de presse. On lui avait demandé de suivre le modèle italien dans l'affaire du Covid. Le simple fait que de telles informations de la bouche du président parviennent à l'opinion publique mondiale devrait porter un coup fatal à ce maudit régime Covid de l'OMS ! et, bien entendu, c’est extrêmement dangereux pour un président, très dangereux, je ne peux que dire, selon mon excellent flair de journaliste, que M. Lukashenko est le prochain dont la vie est en danger.
Regardons du côté de M. Nkurunziza du Burundi et de John Magufuli. Ils ont tous deux fait des déclarations correctes sur une mauvaise image médicale des propagandistes du Covid. Sur la grande corruption occidentale, notamment au sein de l'Organisation mondiale de la santé ; M. Nkurunziza avait d'ailleurs chassé l'OMS du Burundi peu avant son assassinat. C'est dire à quel point la situation s'est aggravée et, bien sûr, il y a un objectif de profit et une volonté d'exploiter et de détruire l'économie tanzanienne, c'est évident.
Quel sens y a-t-il à la mort de M. Nkurunziza, juste avant la passation de pouvoirs ? C'est logique si nous comprenons que le successeur Everist Damacherie avait besoin d'un avertissement et nous voyons maintenant ce qui s'est passé.
J'étais encore en train de faire des recherches à ce sujet hier soir, et on peut aussi trouver ça dans les médias traditionnels.
Le verdict unanime après sa prise de fonction l'été dernier est que rien n'a changé dans la politique burundaise, sauf avec la politique du Covid. Et Magufuli, qui est un dur à cuire et qui est devenu mondialement célèbre pour ça, s'est moqué du Covid avec beaucoup de succès, comme les Africains savent très bien le faire. La vidéo existe toujours sur ma chaîne Youtube et nous nous rappelons que M. Magufuli a fait faire des tests sur de l'huile de moteur et même une papaye, je l'ai déjà décrit. C'était un leader africain très charismatique et la Tanzanie est un pays très important, également pour l’OMS.
Détail intéressant, la langue nationale swahili est la seule langue africaine sur les Georgia Guidestones aux USA et M. Magufuli a aussi dû être éliminé pour toutes ces raisons.
Un indice très important faisant penser que c'est un meurtre, bien sûr, est que l'affirmation médiatique risible selon laquelle il est mort du Covid continue d'être répétée partout. Après tout, un principe important de cette guerre de propagande à l'échelle mondiale c’est que si tous les médias du cartel répètent systématiquement une affirmation improbable, nous pouvons supposer qu'il s'agit d'un mensonge de propagande du Deepstate (l'Etat profond) ou de l'OMS. Et je ne peux que dire, au niveau politique, que l'OMS va à nouveau frapper et que nous, les populations et les porte-parole, sommes appelés à observer et à parler de cela. C'est évident, les criminels utilisent des méthodes criminelles. Ce que je veux dire, c'est que vous devriez les reconnaître à leurs actions et personne n'est à l'abri de ces gens-là y compris moi, bien sûr, puisqu'on dit qu'un grand nombre doit mourir dans le monde entier.
Quels scrupules voulons-nous encore accorder à ceux qui veulent éliminer treize quatorzième de la population mondiale, selon les Georgia Guidestones. L'OMS ne peut être sûre de réussir que si les choses empirent et que les gens sombrent de plus en plus dans la peur. Les allégements éventuels du régime Covid créent une certaine approbation, mais elle diminue clairement de round en round, de vague en vague.
Bien sûr, c'est un soulagement, mais c'est aussi toujours une opportunité pour résister dans les différents pays, et se mettre ensemble. L'OMS n’a donc pas intérêt à créer un allègement et nous n’avons pas intérêt à croire que ça finira par s'améliorer, c'est plutôt de la pure folie. Il y a des leçons importantes à en tirer : l'amélioration de la situation mondiale n'est plus prévue dans cette vie, jusqu'à ce que beaucoup soient morts. Et pour qu'un très grand nombre de personnes meurent et soient « mises en terre », il faut un krach, une famine, des guerres civiles et de « vraies » guerres, et tout ça se prépare activement. Cette évolution ne peut être arrêtée que par la révolte et surtout par le résultat : un arrêt complet de ce régime de brigands, de ce régime meurtrier de brigands. Nous devons arrêter Merkel et Compagnie, avant qu'ils ne détruisent l'Allemagne et son peuple.
Texte de l'émission
à télécharger
10.06.2021 | www.kla.tv/18970
Selon les médias, le président tanzanien John Magufuli, 61 ans, est mort d'une insuffisance cardiaque dans un hôpital de la ville tanzanienne de Dar es Salaam le 18 mars 2021. M. Magufuli avait acquis une réputation en rejetant la politique du Covid-19 qui prévaut dans la plupart des États. Il doutait de la validité des tests Covid. Au printemps 2020, il a fait tester au hasard plusieurs échantillons non humains – dont ceux d'une papaye, d'une chèvre et d'un mouton – pour détecter la présence du Covid-19. Selon M. Magufuli, la chèvre et la papaye ont toutes deux été testées positives. Le président tanzanien a remis en question la politique du Covid de l'OMS et des pays occidentaux. Depuis avril 2020, la Tanzanie a cessé de soumettre à l'OMS des statistiques sur le nombre de cas positifs au Covid. M. Magufuli n'a pas non plus fait confiance aux vaccins Covid. En janvier 2021, il a émis des doutes sur la vitesse avec laquelle ces vaccins étaient développés et mis sur le marché. Il a averti ses compatriotes de ne pas se laisser utiliser « comme cobayes » en matière de vaccins. Pour ses commentaires et ses prises de position politiques sur la crise du Covid, M. Magufuli a été réprimandé par l'OMS. La directrice régionale de l'OMS pour l'Afrique, Matshidiso Moeti, a exhorté le gouvernement tanzanien à publier des données Covid fiables, à prendre des mesures anti Covid et à promouvoir l'administration de vaccins. Ces dernières semaines, lorsque le président tanzanien a cessé de faire des apparitions publiques, les médias ont émis l'hypothèse que John Magufuli aurait pu contracter lui-même le Covid. Le Premier ministre Kassim Majaliwa a réfuté ces rumeurs qui visaient à discréditer la politique du gouvernement tanzanien à l'égard du Covid. Selon le groupe médiatique RND, il a souligné dans une allocution vidéo : « Ces rumeurs sont diffusées par des Tanzaniens qui sont à l'extérieur du pays et ne sont pas favorables à ce pays. [...] Je plains ceux qui souhaitent que le président soit malade, en quoi cela les aiderait-il ? » Le journaliste allemand, homme politique et dirigeant du parti Neue Mitte, Christoph Hörstel, commente les événements ainsi : Nous sommes le jeudi 18 mars 2021 et la raison de cet exposé est triste. Le président tanzanien John Magufuli est mort. Nous adressons nos condoléances et nos bons vœux à sa famille, à ses amis, aux partisans de son parti et à l'ensemble du peuple tanzanien. Qu'il repose en paix ! Hier soir, les médias occidentaux ont rapporté à l'unanimité que l'histoire officielle était la suivante : M. Magufuli a souffert pendant 10 ans de fibrillation ventriculaire, des troubles du rythme cardiaque. Il a été vu pour la dernière fois le 27 février. Selon la vice-présidente, qui va lui succéder, il a été hospitalisé le 6 mars, il est sorti le lendemain, puis de nouveau hospitalisé le 14 mars. Et il est décédé, mercredi, hier, vers 16 heures, heure locale, excusez-moi, 16 heures, notre heure. Pour donner une fausse piste du lieu d'hospitalisation du Président Magufuli, le service tanzanien de renseignement et de sécurité (TISS) a fait courir des rumeurs selon lesquelles il aurait été soigné au Kenya, pays avec lequel les relations ne sont pas très bonnes, puis en Inde, alors que John Magufuli se trouvait tout le temps dans la capitale tanzanienne. Ensuite, il y a eu des rumeurs selon lesquelles M. Magufuli aurait contracté lui-même le Covid-19, elles ont été lancées depuis Bruxelles par le chef de l'opposition Tundu Lissu, et je dirais même plus, nourries. Mais nous savons aussi probablement que penser de celui qui a besoin de fuir à Bruxelles. M. Magufuli était âgé de 61 ans. Sa carrière politique a été marquée par la lutte contre la corruption, et il a tenu ferme pour les grands projets et l’essor économique. Il a été réélu à l'été 2020 avec 84 % des voix et les accusations de fraude électorale ont été nombreuses. Son successeur est la vice-présidente Samia Suluhu Hassan et elle a fort à faire jusqu'à la fin de son mandat régulier, c'est-à-dire jusqu'en 2025. J'ai pris connaissance de cette disparition vendredi dernier. Nous savons, grâce aux articles des journaux locaux, que dix Tanzaniens éminents sont morts au cours du seul mois de février. Parmi eux, il y a le vice-président âgé de 77 ans, et nous devons aussi considérer dans ce contexte la mort subite du président du Burundi, Pierre Nkurunziza, à l'été 2020, juste avant la passation de pouvoirs ; il n'avait que 55 ans. Il souhaitait remettre son poste à un successeur car sa réélection cinq ans plus tôt avait également été controversée et l'opposition s'était rassemblée contre lui, tout comme avec M. Magufuli. D'où pensez-vous que cela vienne ? Il est difficile de croire que cela s'est produit sans ingérence extérieure, selon la méthode bien connue du changement de régime. Pourquoi ai-je des soupçons de meurtre dans l'affaire Magufuli ? C'est déterminant et ce n'est pas prouvé. Non, je n'ai pas de preuve, j'ai juste un ensemble très fort d'indices circonstanciels et je veux vous les partager. Il s'agit d'un cours accéléré sur le COVID du Nouvel Ordre Mondial, qui a un besoin urgent d'unité mondiale en raison des comparaisons constantes des chiffres de décès et d'infection, qui circulent par ailleurs dans les médias et qui montrent simplement qu'on peut très bien survivre sans régime Covid, en tant que peuple et en tant que gouvernement. Ensuite, il y a une pression médiatique constante dans le monde entier contre les politiques libérales face au Covid-19. Le Portugal, la Suède, le Japon l'ont déjà expérimenté. Bien que la Suède, même sans une politique Covid, avance rapidement par rapport à l'implantation de la puce RFID. D'un autre côté ils ont reconnu la Palestine comme Etat, c'est aussi quelque chose qu'on ne fait pas selon l'OMS, et il faut observer combien de temps le chef du gouvernement sera encore en bonne santé. Ensuite, il y a eu des incitations financières, de 80 à 90 millions de dollars au départ. Puis plus de 900 millions de dollars proposé au président Lukashenko du Bélarus enfin de la Biélorussie. Et alors en 2020, après le refus des subventions financières, une tentative de putch a échoué. Après avoir rejeté ces conditions pour le crédit de plus de 900 millions de dollars, M. Lukashenko a donné une conférence de presse. On lui avait demandé de suivre le modèle italien dans l'affaire du Covid. Le simple fait que de telles informations de la bouche du président parviennent à l'opinion publique mondiale devrait porter un coup fatal à ce maudit régime Covid de l'OMS ! et, bien entendu, c’est extrêmement dangereux pour un président, très dangereux, je ne peux que dire, selon mon excellent flair de journaliste, que M. Lukashenko est le prochain dont la vie est en danger. Regardons du côté de M. Nkurunziza du Burundi et de John Magufuli. Ils ont tous deux fait des déclarations correctes sur une mauvaise image médicale des propagandistes du Covid. Sur la grande corruption occidentale, notamment au sein de l'Organisation mondiale de la santé ; M. Nkurunziza avait d'ailleurs chassé l'OMS du Burundi peu avant son assassinat. C'est dire à quel point la situation s'est aggravée et, bien sûr, il y a un objectif de profit et une volonté d'exploiter et de détruire l'économie tanzanienne, c'est évident. Quel sens y a-t-il à la mort de M. Nkurunziza, juste avant la passation de pouvoirs ? C'est logique si nous comprenons que le successeur Everist Damacherie avait besoin d'un avertissement et nous voyons maintenant ce qui s'est passé. J'étais encore en train de faire des recherches à ce sujet hier soir, et on peut aussi trouver ça dans les médias traditionnels. Le verdict unanime après sa prise de fonction l'été dernier est que rien n'a changé dans la politique burundaise, sauf avec la politique du Covid. Et Magufuli, qui est un dur à cuire et qui est devenu mondialement célèbre pour ça, s'est moqué du Covid avec beaucoup de succès, comme les Africains savent très bien le faire. La vidéo existe toujours sur ma chaîne Youtube et nous nous rappelons que M. Magufuli a fait faire des tests sur de l'huile de moteur et même une papaye, je l'ai déjà décrit. C'était un leader africain très charismatique et la Tanzanie est un pays très important, également pour l’OMS. Détail intéressant, la langue nationale swahili est la seule langue africaine sur les Georgia Guidestones aux USA et M. Magufuli a aussi dû être éliminé pour toutes ces raisons. Un indice très important faisant penser que c'est un meurtre, bien sûr, est que l'affirmation médiatique risible selon laquelle il est mort du Covid continue d'être répétée partout. Après tout, un principe important de cette guerre de propagande à l'échelle mondiale c’est que si tous les médias du cartel répètent systématiquement une affirmation improbable, nous pouvons supposer qu'il s'agit d'un mensonge de propagande du Deepstate (l'Etat profond) ou de l'OMS. Et je ne peux que dire, au niveau politique, que l'OMS va à nouveau frapper et que nous, les populations et les porte-parole, sommes appelés à observer et à parler de cela. C'est évident, les criminels utilisent des méthodes criminelles. Ce que je veux dire, c'est que vous devriez les reconnaître à leurs actions et personne n'est à l'abri de ces gens-là y compris moi, bien sûr, puisqu'on dit qu'un grand nombre doit mourir dans le monde entier. Quels scrupules voulons-nous encore accorder à ceux qui veulent éliminer treize quatorzième de la population mondiale, selon les Georgia Guidestones. L'OMS ne peut être sûre de réussir que si les choses empirent et que les gens sombrent de plus en plus dans la peur. Les allégements éventuels du régime Covid créent une certaine approbation, mais elle diminue clairement de round en round, de vague en vague. Bien sûr, c'est un soulagement, mais c'est aussi toujours une opportunité pour résister dans les différents pays, et se mettre ensemble. L'OMS n’a donc pas intérêt à créer un allègement et nous n’avons pas intérêt à croire que ça finira par s'améliorer, c'est plutôt de la pure folie. Il y a des leçons importantes à en tirer : l'amélioration de la situation mondiale n'est plus prévue dans cette vie, jusqu'à ce que beaucoup soient morts. Et pour qu'un très grand nombre de personnes meurent et soient « mises en terre », il faut un krach, une famine, des guerres civiles et de « vraies » guerres, et tout ça se prépare activement. Cette évolution ne peut être arrêtée que par la révolte et surtout par le résultat : un arrêt complet de ce régime de brigands, de ce régime meurtrier de brigands. Nous devons arrêter Merkel et Compagnie, avant qu'ils ne détruisent l'Allemagne et son peuple.
de hm.
Analyse von Christoph Hörstel https://www.bitchute.com/video/Gg1oSRn7PjUF/?fbclid=IwAR26as8UorLFJBPyfcveXYrk85HnNWAt7JvJR_GKPDWutOyodR_OaObPdqg
Mehr über Christoph Hörstel https://christoph-hörstel.de/wa-22-mord-magufuli-christoph-hoerstel-2021-3-18/
https://de.wikipedia.org/wiki/Christoph_H%C3%B6rstel