BioNTech : connaissance préalable du Covid-19, préfinancement et profit de crise

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16.04.2022 | www.kla.tv/22279

En 2021, l'entreprise pharmaceutique BioNTech a fait une ascension fulgurante dans le secteur et son nom est connu dans le monde entier. Alors que l'entreprise enregistrait encore une perte de 181 millions d'euros en 2019, un bénéfice d'au moins neuf milliards était attendu pour 2021. N'est-il pas intéressant d'examiner de plus près leur concept de réussite ? Car qui n'aimerait pas connaître une ascension aussi fulgurante ? Dans le rapport annuel 2019 de BioNTech, qui peut être consulté publiquement, on trouve l'indication "COVID-19" sous le nom de produit "BNT162", à la rubrique "Classe de principes actifs : ARNm". Cela signifie que le vaccin pour le traitement du COVID-19 devait être prêt dès 2017, ou au plus tard fin 2018. En effet, au moment de la publication du rapport annuel, la phase de test préclinique et même la moitié de la phase de test 1 étaient déjà entièrement terminées. Une conseillère d'entreprise a donc posé la question à la direction de BioNTech : "Comment votre entreprise a-t-elle pu développer un produit thérapeutique qui avait déjà terminé sa phase d'essais précliniques fin 2019, alors que le virus n'est apparu qu'en décembre 2019 ?" - Elle n'a jamais reçu de réponse. - Plus tard, Mme Türeci, la directrice générale, a admis à contrecœur devant la presse avoir été informée auparavant. Si BioNTech faisait déjà des recherches sur un vaccin pour une maladie qui n'existait pas encore, qu'est-ce que cela signifie sinon que la pandémie était prévue depuis longtemps ?! Cela vaut la peine d'y regarder de plus près. D'où viennent les connaissances préalables ? Chaque année, le Sommet mondial de la santé (WHS*) se tient à Berlin. En octobre 2018, il a réuni notamment Angela Merkel, Bill Gates, le Premier ministre norvégien, le directeur de l'OMS, et Uğur Şahin, PDG de BioNTech, jusqu'alors largement inconnu et sans succès financier. Ce n'est qu'en août 2018 que BioNTech a signé un contrat avec Pfizer pour le développement de vaccins à base d'ARNm pour la prévention de la grippe. Pfizer a investi 305 millions de dollars en 2018, à un moment où BioNTech ne connaissait pas encore le succès. La Fondation Bill & Melinda Gates est le principal bailleur de fonds de l'autorité britannique de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA). En septembre 2019, soit juste avant l'apparition de la pandémie de Covid-19, cette fondation a acheté des actions de BioNTech pour une valeur de 55 millions de dollars. De même, la Banque européenne d'investissement (BEI) a garanti 50 millions d'euros à BioNTech. "Le seul vaccin qui, si tout se passe parfaitement, pourrait obtenir l'autorisation d'être utilisé en urgence d'ici fin octobre (2020) serait Pfizer", avait déclaré Bill Gates à l'époque. Il est intéressant de noter que la MHRA, financée par Gates, a prolongé l'autorisation d'urgence du vaccin ARNm de Pfizer/BioNTech au Royaume-Uni, ce qui a permis de l'administrer aux enfants âgés de 12 à 15 ans à partir du 4 juin 2021. Qui s'étonne encore de l'ascension fulgurante de BioNTech ? Avant la pandémie, c'est-à-dire en 2019, l'année la plus déficitaire à ce jour, BioNTech a augmenté les salaires des membres du conseil d'administration et du conseil de surveillance, parfois de près de 1 000 %. En chiffres, le salaire annuel du directeur général Uğur Şahin est passé de 653 000 € à 7 000 064 €. L'investissement de ces bailleurs de fonds dans une entreprise déjà fortement endettée depuis des années, ainsi que l'incroyable augmentation de salaire, laissent penser que les personnes concernées savaient certainement que des milliards de bénéfices étaient en vue dans un avenir proche. Une pièce de plus dans le puzzle qui révèle que la pandémie déclarée seulement en mars 2020 est une plandémie dans laquelle Bill Gates est un personnage clé décisif. Notez bien : La „Plandémie“ signifie qu'il s'agit d'une crise planifiée à l'avance et provoquée artificiellement, qui permet aux planificateurs et aux investisseurs de gagner des fortunes au fur et à mesure de son déroulement. Au détriment de la collectivité, bien entendu. Ne devrait-on pas dire ici : « Remboursement ! » Et les profits de crise, c'est-à-dire le fait de gagner de l'argent sur les crises, ne devraient-ils pas être interdits par principe, afin d'étouffer dans l'œuf des modèles commerciaux aussi criminels ?

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Sources/Liens : Verluste und Gewinne bei BioNTech https://www.achgut.com/artikel/die_boerse_wird_mistrauisch_biontechs_fall
Pandemie-Vorwissen bei BioNTech https://bit.ly/3rRgdvG
https://bit.ly/3sO5mSf
Treffen der Pandemietreiber schon 2018, mit BioNTech https://report24.news/merkel-gates-sahin-dubioses-treffen-der-pandemie-treiber-schon-2018/
Bill Gates – Finanzier von MHRA und BioNTech https://queged.wordpress.com/2021/08/12/bill-gates-ist-der-wichtigste-geldgeber-der-mhra-und-besitzt-grose-anteile-an-pfizer-und-biontech-ist-es-da-ein-wunder-dass-die-mhra-den-impfstoff-fur-kinder-zugelassen-hat/
https://dailyexpose.uk/2021/05/30/shocking-86-of-children-suffered-an-adverse-reaction-to-the-pfizer-covid-vaccine-in-clinical-trial/