21e AZK – Dr. Ana Maria Mihalcea : « Nanotechnologie d’auto-assemblage dans le sang vivant » avec une issue au drame – par Ivo Sasek

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20.09.2025 | www.kla.tv/38919

Biographie d’Ana-Maria Mihalcea Le Dr. Ana Maria Mihalcea, [MD, PhD Docteur en médecine et en philosophie], née en 1974 en Allemagne, est médecin spécialiste en médecine interne, titulaire d'un doctorat en pathologie et forte de plus de 25 ans d'expérience clinique. Elle est présidente d'AM Medical LLC, une clinique anti-âge dédiée à l’inversion de toutes les maladies. Elle est également fondatrice de Tru Blu Medical, qui a développé les dispositifs Blue Light Wellness-Wraps. Elle est l'auteure primée du livre « Médecine par la lumière – Un nouveau paradigme – La science de la lumière, de l'esprit et de la longévité ». [titre original : Light Medicine – A New Paradigm – The Science of Light, Spirit and Longevity], elle est aussi l'auteure du best-seller « Transhumain – Le véritable agenda derrière le COVID-19, tome 1 » [titre original : TransHuman – The Real COVID 19 Agenda Vol 1], et « Transhumain –Vaincre le programme de dépopulation, tome 2 » [titre original : TransHuman – Overcoming the Depopulation Agenda Vol 2]. Les résultats de ses recherches fournissent des preuves de l'existence d'une nanotechnologie d’auto-assemblage, qui a été détectée dans les vaccins contre le COVID-19, dans le sang de personnes vaccinées et non vaccinées, ainsi que dans les précipitations issues de la géo-ingénierie. Ils ont été utilisés pour la résolution « Interdisez les vaccins » [titre original : Ban the Jabs], qui a été adoptée dans 11 comtés républicains des États-Unis. Ils faisaient également partie des 25 pétitions nationales [ARM] adressées au grand jury pour crimes contre l'humanité, ainsi que des preuves présentées par le Dr Joseph Sanson dans sa demande d'injonction devant le tribunal de Floride visant à faire déclarer les vaccins contre le COVID-19 comme armes de destruction massive et à exiger leur retrait immédiat du marché. Le Dr. Ana Maria Mihalcea aborde aujourd’hui le sujet : « Nanotechnologie d’auto-assemblage dans le sang vivant (microscopie en champ sombre) » Nanotechnologie d’auto-assemblage dans le sang vivant Dr. Mihalcea: Merci beaucoup. Vous m'entendez bien ? Spectateurs : Oui très bien !! Dr. Mihalcea: Merveilleux, merveilleux. Je vais donc commencer ma présentation. Le sujet est : Analyse du sang vivant en champ sombre de la nanotechnologie d’auto-assemblage dans le sang humain et lien avec la vaccination contre le Covid-19 et d'autres médicaments injectables. Je voudrais tout d'abord donner quelques informations générales, car il s'agit de l'agenda technocratique transhumaniste et de la convergence bio-numérique de l'humanité. De quoi s'agit-il ? Il s'agit de modifier l'être humain, son corps, son esprit et son comportement, ainsi que de modifier ou de créer de nouveaux organismes grâce à la biologie synthétique. On modifie les écosystèmes afin d'envoyer, de stocker, de traiter et de transmettre des informations. Les innovations biologiques sont contrôlées, c'est-à-dire que la nature est manipulée. Pour ce faire, des chaînes de production et d'approvisionnement entières sont structurées et exploitées. Comme vous pouvez le constater, il s'agit ici de documents provenant, par exemple, du gouvernement canadien. Il s'agit de la fusion de la vie biologique et numérique et de la création de nouvelles formes hybrides de vie et de technologie qui fonctionnent dans le monde réel. Mais cela a également un impact sur l'agenda transhumaniste mondial. Et il existe de nombreuses possibilités de normalisation qui font l'objet de discussions sur la manière de créer des jumeaux humains numériques et virtuels. Il s'agit d'une représentation numérique multidisciplinaire de la physiologie et de la pathologie humaines, qui joue un rôle important dans les approches médicales personnalisées. Un document très important publié aux États-Unis, intitulé « Cyborg Soldier 2050 », explique que le monde médical va promouvoir la fusion entre l'homme et la technologie et habituer les gens à cette idée en leur disant : « Nous allons guérir vos maladies, votre cancer, votre Alzheimer en vous équipant de technologies. » Et ce que vous pouvez voir, c'est que de nombreuses données cliniques, dossiers médicaux, données sur votre mode de vie, Fitbits, toutes sortes de données génétiques sont utilisées par ce système informatique d'IA, c'est-à-dire ce système informatique d'intelligence artificielle, afin de créer autant d'informations que possible sur vous. Et finalement, vous serez connectés via le code QR et l'identité numérique afin d'être sous une surveillance absolue et complète de tous les systèmes vivants sur la planète Terre. Ici, vous voyez la Commission européenne discuter du « plan européen de lutte contre le cancer ». Et là encore, vous voyez cette médecine personnalisée qui fonctionne à l'aide d'ordinateurs performants. Il s'agit de données de santé issues d'une surveillance en temps réel, c'est-à-dire qu'à l'aide de capteurs placés dans le corps, un jumeau numérique de chaque personne est créé. Cet algorithme aidera ensuite prétendument à développer des stratégies de dépistage et de prévention ciblées, ainsi que des concepts thérapeutiques diagnostiques et individualisés. C'est donc très réel, et c'est également très réel pour l'Europe. Et ce que vous voyez ici provient de la Commission internationale de l'énergie. Ce sont les possibilités de normalisation que vous voyez. Ici, de nombreux domaines scientifiques différents sont fusionnés. Vous voyez donc ici l'informatique, les biocapteurs, l'épigénomique, c'est-à-dire le matériel génétique, la protéomique, la science des protéines, la génomique, la transcriptomique, la biotechnologie, la biologie synthétique. Et tous ces aspects tels que la cybernétique, la bionique, l'ingénierie des systèmes, le génie génétique, l'écologie font partie de cette convergence bio-numérique. Et plus encore, l'extension humaine en est un élément déterminant. D'un côté, il y a donc la géo-ingénierie, car les composants de cette technologie sont pulvérisés. L'homme les respire, et toute vie les respire et est ainsi contaminée. Ensuite, il y a l'agriculture intelligente. Quand on dit « intelligente », ça signifie qu'elle est contrôlée par l'intelligence artificielle. Il y a la surveillance environnementale, car on veut obtenir toutes les informations sur chaque microbe vivant sur Terre grâce à la poussière « intelligente ». Biohacking, biorobotique, cyborgs. Vous voyez ici des organes artificiels en cours de création. Des organes et des corps humains sur une puce. Le ministère de la Sécurité intérieure des États-Unis dispose de documents décrivant l'hôpital à l'intérieur du corps. Ce sont donc des nanorobots qui effectueront les opérations. Il s'agit de médecine, d'appareils biomédicaux, de bioprocédés. Tous ces aspects sont très complexes, car ils combinent dans leur plan, la nanotechnologie, la neurobiologie, la biologie cellulaire, la génétique, la biologie synthétique, c'est-à-dire de nombreux aspects différents. Voici un article du Forum économique mondial. Il y est question de la « quatrième révolution industrielle » et de la manière dont la surveillance de nos fonctions corporelles pourrait changer nos vies. Nous entrons dans l'ère de l'Internet des corps, où les données physiques sont collectées via une série d'appareils qui peuvent être implantés, avalés ou portés. Et tout cela sans notre consentement, faut-il le préciser. « Il en résulte une quantité énorme de données relatives à la santé qui pourraient améliorer le bien-être des populations du monde entier et s'avérer cruciales dans la lutte contre la pandémie de Covid-19. » La « plandémie » a donc vraiment été le coup d'envoi de cette convergence bio-numérique. Mais ils disent aussi que cela comporte certains risques, notamment en matière de protection des données. C'est évident. Le document « Shape the future » de la Commission européenne évoque l'émergence, d'ici 2050, d'une nouvelle forme d'être humain, appelé « transhumain », fusionné avec la technologie et doté de capacités intellectuelles, physiques et psychologiques améliorées. Cela sera rendu possible grâce à des implants technologiques qui amélioreront la mémoire et le stockage de l'énergie. Il est donc tout à fait réaliste que les gouvernements du monde entier aient prévu cela. Et ce document affirme que les êtres humains génétiquement améliorés constitueront la majorité de la population mondiale. Grâce à ces techniques d'implantation et à la création de connexions nerveuses directes dans le corps, de capteurs et d'implants perfectionnés, ça devrait être une pratique courante d'ici 2050. Mais cela s'est déjà produit, sans le consentement de l'humanité. Ils disent donc que les implants visuels rendront la vue aux aveugles et que les implants auditifs rendront l'ouïe aux sourds. Ils auront des sens et des capacités biologiques améliorés, et leurs capacités intellectuelles s'amélioreront également. Nous connaissons le Neuralink d'Elon Musk, mais il s'agit déjà d'une technologie obsolète par rapport à ce qu'ils ont déjà mis en place. Et la possibilité d'améliorer et de gérer les maladies chroniques sera rendue possible par des nanodispositifs et des biocomputers qui, selon eux, permettront de prolonger la vie. Je pense qu'ils seront utilisés comme armes de guerre biologique. Ils affirment que les nanorobots aideront au diagnostic et au traitement des maladies à tout âge, y compris la chirurgie réparatrice, et qu'ils seront capables de lire et d'écrire dans la biologie. Les robots pourront ainsi modifier génétiquement tout être humain. Tout comme les nanorobots, les biocomputers seront inoculés, c'est-à-dire administrés au moyen d'un vaccin. Ils seront donc implantés dans le corps humain afin d'accomplir des tâches complexes, telles que la détection et la surveillance de l'état des organes et la réparation des tissus à l'échelle micro et nanométrique. Le problème, cependant, est que ça signifie également un contrôle absolu. Si le superordinateur doté d'intelligence artificielle détermine que votre processus de pensée ne correspond pas à ses attentes, que votre biologie ne correspond pas à ses attentes ou que vous êtes totalement inapproprié, il peut, par exemple, arrêter votre cœur depuis l’intérieur de votre corps. Ils parlent donc de cette convergence comme étant l'union continue de la nanotechnologie, de la biotechnologie, des technologies de l'information et des sciences cognitives. C'est ce qu'on appelle le piratage cérébral. Vous voyez ici un réseau de nanobiocapteurs pour la communication sans fil dans le sang. Cela a déjà été publié dans la littérature publique. Une grande partie de cette technologie a été développée depuis les années 2000 par l'association internationale d'ingénieurs IEEE. L'un des principaux responsables est le professeur Ian Akyildiz, qui aborde le sujet de l'Internet des bio-nano objets, en utilisant l’ingénierie de dispositifs informatiques intégrés biologiquement qui interagissent avec les cellules biologiques et modifient leur fonctionnement biochimique. Ils disposent d'un réseau de détection et d'actionnement intra corporel, ce qui signifie qu'ils sont capables de percevoir les données, et le réseau d'actionnement signifie qu'ils peuvent également calculer les données. Il s'agit donc d'un changement de paradigme dans la technologie des communications et des réseaux. Voici comment ça fonctionne : Une cellule biologique a été piratée par une technologie qui place un nano-émetteur électromagnétique à l'intérieur et un nano-capteur biologique à l'extérieur, et qui peut créer des tatouages électroniques dans des cellules manipulées. Je voudrais juste vous montrer ici une image de Clifford Carnicom. Il était mon partenaire de recherche et nous avons beaucoup travaillé ensemble. Je vous en montrerai davantage à ce sujet plus tard. Mais ce que cela montre, c'est que c'est lui qui a découvert les « morgellons » et les a appelés bactéries inter-domaines. Vous voyez ici dans l'urine un développement de micropuces dans les cellules, et la même chose dans les globules rouges. Cela provient de l'Institut Carnicom. Les robots moléculaires à base de vésicules lipidiques sont une réalité. Ils peuvent donc produire des nanoparticules lipidiques dans lesquelles des calculs peuvent être effectués à l'aide d'ADN. Des capteurs sont fixés à ces nanoparticules lipidiques. Il s'agit d'un nouveau robot moléculaire utilisé pour des fonctions plus avancées et capable de détecter des biomarqueurs, de transmettre des signaux à l'intérieur de cellules vivantes, de convertir de l'énergie, et c'est le plus petit ordinateur au monde. Il fonctionne à l'échelle nanométrique et peut effectuer de nombreux calculs par réglage. Vous pouvez donc avoir plusieurs structures différentes. Ces bulles que vous voyez ici peuvent contenir plusieurs autres nanorobots intégrés ou être de type tissulaire. Voici une image du vaccin Covid de Pfizer-BioNTech que j'ai analysé. Ce que vous voyez ici, ce sont les liposomes qui se développent à l'intérieur, et à l'intérieur se trouvent des nanorobots. Je montrerai d'autres images plus tard. Mais ces choses ne sont pas simplement un mécanisme de transport pour les ARNm, comme on le dit, car la plupart des équipes dans le monde n'ont pas trouvé d'ARNm. Il s'agit d'un système de transport pour la nanotechnologie. Voici le brevet Moderna qui explique que l'injection Covid contient des gels et des hydrogels. L'ARNm est donc encapsulé dans un hydrogel, qui est ensuite injecté dans le sujet, c'est-à-dire l'être humain. Les hydrogels sont absorbants. Ils sont très flexibles, biocompatibles, biodégradables et poreux. Ce que vous voyez ici, c'est que même les hydrogels composites sont tridimensionnels, ils peuvent être réticulés et former des structures très complexes. Et ils peuvent être utilisés dans le photovoltaïque et l'optique. Cela signifie qu'ils peuvent percevoir des signaux optiques et effectuer des calculs à l'aide du photovoltaïque. Les hydrogels permettent de fabriquer des micropuces. C'est bien connu, et ils peuvent également le faire à partir de protéines. Ce que vous voyez ici, c'est la preuve que la protéine Spike du coronavirus, qui a également été utilisée dans toutes les injections, forme de l'amyloïde à un pH de 4. L'amyloïde est une substance qui peut provoquer la maladie d'Alzheimer et des caillots caoutchouteux. Mais à un pH de 7, le pH normal de l'être humain, elle forme un hydrogel. Les peptides des hydrogels peuvent donc être utilisés pour des systèmes à libération lente et pour la technologie. Au MIT, il a été suggéré que l'hydrogel est l'interface entre le cerveau et l'ordinateur. Vous voyez ici une représentation schématique du nanoréseau intracorporel. Vous avez donc des neurones qui forment une interface avec le graphène présent dans les injections et dans ce que nous respirons. Ils créent ces micropuces que nous avons trouvées et qui se développent. Et il y a ces flotteurs en hydrogel qui contiennent les petits morceaux caoutchouteux qui sont en fait des nano-antennes qui envoient ensuite les informations au cloud grâce au phénomène des adresses MAC [= adresse de code d'accès aux médias : il s'agit du numéro d'un appareil sur une connexion de données], que l'on peut détecter avec des scanners Bluetooth. Les informations biologiques alimentent ensuite le jumeau numérique dans le métavers afin d'être contrôlées par l'intelligence artificielle. Il est important de noter que bon nombre des 26 équipes de scientifiques indépendants à travers le monde n'ont pas trouvé d'ARNm dans les vaccins Covid. Ils n'ont trouvé ni phosphore ni azote, qui sont les composants de l'ARNm. Qu'ont-ils donc injecté ? Ils ont trouvé de très nombreux métaux. Ils ont trouvé ces hydrogels, des contaminants de l'ADN, dont nous savons qu'ils sont cancérigènes. Ils ont également trouvé de nombreux métaux lourds, tels que le césium, le césium radioactif, l'antimoine, qui peut provoquer une insuf¬fisance cardiaque, le silicium, l'aluminium, le titane. Le titane et l'aluminium sont nécessaires en chimie des polymères pour donner le signal de départ aux polymères auto-organisés. Le gadolinium est une substance neurotoxique utilisée comme agent de contraste pour l'IRM. Il existe donc de nombreux métaux différents, et ces structures ont commencé à s'assembler d'elles-mêmes. Du graphène a également été trouvé. Tout cela a depuis été publié dans des revues scientifiques internationales, mais ces informations continuent d'être censurées. Lorena Diblasi et ma collègue, le Dr Marcela Sangorrín, de l'université de Neuquén en Argentine, ont trouvé 55 produits chimiques non déclarés dans des vaccins Covid du monde entier. Peu importe qu'il s'agisse de Spoutnik, Pfizer ou AstraZeneca. Il s'agit d'une attaque mondiale contre l'humanité. Comme vous pouvez le voir ici, l'oxyde de graphène est fluorescent. Et la même fluorescence a été trouvée dans les injections Pfizer et COVILO. Il s'est avéré que ces 55 éléments utilisés étaient des métaux très complexes issus de la technologie des semi-conducteurs. Par exemple, les lanthanides qui sont paramagnétiques. Vous vous souvenez peut-être des personnes qui ont reçu ces injections et qui ont commencé à être magnétiques. Mais les lanthanides sont également fluorescents, ils émettent donc des signaux lumineux qui peuvent être utilisés pour le photovoltaïque micro-robotique. Ils sont également utilisés dans la nanotechnologie des semi-conducteurs. On a même trouvé dans les injections de l'uranium, qui est également pulvérisé par géo-ingénierie. Il s'agit donc d'un élément radioactif qui accélère le développement du cancer, que nous voyons maintenant exploser. Les taux de cancer chez les personnes âgées de 40 ans ont quadruplé depuis le début de la pandémie, dans le cadre du programme de dépeuplement. Le Dr Young Mi Lee, de Corée du Sud, a documenté 54 ampoules de vaccin Covid-19 et a trouvé 3 à 4 millions de nanoparticules par millilitre d'injection Covid. Elle les a incubées pendant deux ans et a clairement constaté que la technologie était constamment active, renforcée par le Wi-Fi, la 5G et les champs électromagnétiques, décimant le nombre de spermatozoïdes et le sang humain, et que même les hommes vaccinés, par exemple, répliquaient cette nanotechnologie dans leur sperme deux ans après la vaccination. Voici mon analyse des injections COVID de Pfizer-BioNTech. Ce que vous voyez, ce sont des millions de nano et micro-robots. Ce sont ces lumières clignotantes. C'est exactement ce qu'a expliqué le professeur Ido Bachelet, qui a collaboré avec Pfizer, à savoir qu'il pouvait intégrer 1 000 milliards de nanorobots dans un vaccin. C'est exactement ce que nous avons trouvé. Vous voyez ici un agrandissement plus important, environ 2 000 fois. Et vous voyez comment les petites lumières clignotantes, qui interagissent entre elles grâce à la photovoltaïque et à la photo-optique, construisent des micropuces, des micropuces très sophistiquées. Ici, vous voyez différentes structures qu'ils construisent. Et vous voyez cette structure liposomale en forme de bulle à l'intérieur. Elle s'assemble d'elle-même. Vous voyez ces longs fils qui s'assemblent également. J'ai laissé la goutte du flacon Pfizer sur la lame. Ici, environ six jours plus tard, nous voyons ce qui s'est assemblé. J'ai alors commencé à élucider ce phénomène appelé « shedding », c’est-à-dire « excrétion ». Les documents Pfizer indiquent qu'un homme non vacciné qui respire l'air à proximité d'une femme vaccinée peut transmettre le vaccin à une autre femme non vaccinée. Il s'agit d'armes biologiques qui se propagent d'elles-mêmes. Ils étaient au courant de cette transmission. C'est écrit dans les documents Pfizer. Nous avons également commencé à observer ces structures filiformes dans le sang des personnes non vaccinées. La QuintaColumna, un groupe espagnol, a mené de nombreuses recherches et a chauffé une goutte du vaccin COVID-19. Ces structures filiformes se sont alors très rapidement formées. À la même époque, je travaillais aux États-Unis avec Clifford Carnicom dans le domaine de la géo-ingénierie. Et dès 2014, il documentait la croissance des « morgellons », une biologie synthétique nanotechnologique avancée qui est pulvérisée depuis des décennies par le biais de la géo-ingénierie et qui a servi de terrain d'essai avant l'introduction des injections COVID-19. Ces personnes avaient des micropuces qui sortaient de leur peau et on disait qu’elles déliraient, mais il s'agissait exactement des mêmes produits chimiques. Nous avons donc mené de nombreuses expériences ensemble. Nous avons simplement exposé le sang de personnes non vaccinées à un faible courant électrique pendant deux heures. Et le sang non vacciné, qui semblait normal, s'est transformé en caillots filamenteux et caoutchouteux, car le courant favorise cette auto-organisation. Nous avons ensuite examiné la composition chimique à l'aide de la spectroscopie proche infrarouge et nous avons trouvé du vinyle. Le vinyle est un alcool polyvinylique, c'est-à-dire du plastique. Nous avons trouvé des alcènes et des polyènes. Il s'agit de polyéthylène glycol qui a été utilisé pour les nanoparticules lipidiques dans les vaccins. Nous avons également trouvé des polyamides. Les polyamides sont des fils de soie de nylon. C'est du Kevlar. Ce sont des substances utilisées à des fins militaires qui ne peuvent pas être dégradées. Nous avons également trouvé du silicone et du soufre. Nous avons ensuite analysé le sang de personnes vaccinées et non vaccinées et l'avons comparé à l'isolat de ces bactéries dites « inter-domaines ». Et les signatures chimiques correspondaient. On a donc trouvé de l'hydrogel, du polyène, du polyéthylène glycol, de l'alcool polyvinylique et des polyamides. Cela a ensuite été confirmé par le Dr Speicher, qui a trouvé dans les vaccins COVID du matériel génétique codant pour la soie d'araignée utilisée dans les cordes de descente en rappel. La soie d'araignée est un polyamide. Elle est utilisée dans le domaine militaire, par exemple pour fabriquer des blindages pour l'armée américaine. Ce matériau est impossible à dégrader. Nous avons donc mené des études sur la conductivité électrique du sang humain, et notre sang est littéralement le vecteur de notre force vitale. Nous avons ainsi découvert que la conductivité électrique, c'est-à-dire la force vitale, était réduite de près de 47 %. Imaginez que quelqu'un vous prive de la moitié de votre force vitale ! C'est donc la raison pour laquelle nous observons un processus de vieillissement accéléré avec des maladies liées à l'âge telles que le turbo cancer, les accidents vasculaires cérébraux et les crises cardiaques chez les jeunes. Et d'un point de vue électrique, nous sommes la batterie de cette technologie. Nous voyons ici la seule différence que nous avons trouvée entre le sang des personnes vaccinées et celui des personnes non vaccinées. Nous avons effectué une spectroscopie électromagnétique de 0 à 25 000 hertz, et à quatre hertz, le sang des personnes vaccinées était extrêmement sensible. Quatre hertz est une fréquence utilisée par HAARP, le programme de recherche sur les hautes fréquences et l'activité aurorale. Il s'agit d'une manipulation électromagnétique de l’ionosphère utilisée pour contrôler la conscience et le cerveau. Et quatre hertz est également la fréquence utilisée par les ondes cérébrales du subconscient. Les personnes vaccinées sont donc influencées par des fréquences électromagnétiques extrêmement basses provenant de l'extérieur, et leur subconscient est programmé. Vous voyez ici 30 ml de sang vacciné qui a été laissé au repos pendant quatre heures. Les cellules se déposent au fond. C'est le plasma sanguin. Et vous voyez qu'une substance caoutchouteuse se forme. Et ici, vous voyez le caillot. Et ici, vous voyez la même formation de caillots caoutchouteux. Voici une vidéo qui vous montre à quel point cette substance est dure. C'est du vrai caoutchouc. On ne peut pas l'étirer. J'ai reçu ce caillot et j'ai effectué une analyse microscopique, et ce que vous voyez ici, ces fils bleus, c'est de la nanotechnologie. Et ici, vous voyez le sang d'une personne non vaccinée et vous voyez ces fils bleus. D'ailleurs, rien dans le corps ne devrait être bleu. Nous respirons cette substance parce qu'elle est pulvérisée sur l'humanité et vous voyez les mêmes fils bleus dans ces grumeaux caoutchouteux. J'ai fait une grande découverte lorsque j'ai reçu le sang embaumé d'une personne décédée huit mois auparavant et qui avait reçu les injections COVID. Ce sang m'a été fourni par l'embaumeur Richard Hirschman qui m'a informée de l'existence de ces caillots caoutchouteux. Et je l'ai examiné au microscope. On voit les mêmes fils. Et puis vous voyez ça. C'est le sang embaumé. Et vous voyez que la nanotechnologie continue de se multiplier à une vitesse vraiment alarmante. Et toutes ces bulles, ces liposomes, contiennent des nanorobots et des microrobots. Et cela ne s'arrête pas après la mort, ce qui correspond tout à fait aux recherches de mon collègue, le Dr Pedro Chávez, [médecin militaire et président] de la COMUSAV [CoaliciónMundialSalud y Vida (Coalition mondiale pour la santé et la vie)], qui a documenté que les personnes vaccinées décédées continuent d'émettre des adresses MAC [= adresse de code d'accès aux médias : il s'agit du numéro d'un appareil sur une connexion de données] depuis leurs tombes. Vous voyez ici un agrandissement 4 000 fois plus grand. Vous voyez les liposomes et comment les micro-robots clignotent. Il s'agit d'un globule rouge d'environ 5 micromètres de diamètre. Pour moi, la grande avancée a été de comprendre comment cette technologie se reproduit. Puis, j'ai examiné à nouveau le même échantillon de sang 1 an et demi plus tard. Cette personne est donc morte depuis plus de deux ans. Vous voyez ici que les liposomes contenant les nanorobots continuent de se répliquer et que ce processus n'a pas cessé, même après presque deux ans et demi. Donc, quand les gens me demandent : « Quand les personnes vaccinées cesseront-elles d'en excréter ? », la réponse est : jamais. Vous voyez ici la documentation sur le sang non vacciné. Je suis spécialiste du traitement des dommages causés par les vaccins chez les personnes non vaccinées, qui sont dus à la transmission. Et j'ai commencé à observer chez les personnes non vaccinées exactement ce qui a été observé dans le sang vacciné à travers le monde. Vous voyez ici du sang non vacciné, un liposome contenant des nanoparticules. J'ai ensuite filmé comment le sang l'utilise réellement et forme ces fils de polymère. Et tous ces liposomes forment ces grandes structures. Et vous pouvez voir qu'ils utilisent le sang pour créer des structures de plus en plus grandes. Ici, vous pouvez voir que le liposome expulse son intérieur, ses micro-robots, pour faire partie du filament. Et vous pouvez en voir différentes formes. Il s'agit donc d'une nanotechnologie avancée avec des micro-robots et des interconnexions intégrées qui fonctionnent réellement. Ici, vous pouvez voir comment ces nanorobots construisent le fil. Vous pouvez clairement voir ces bulles. Ce sont des nano-fils qui s'assemblent continuellement dans le sang. Et ceux-ci forment des réseaux en forme de grille. C'est du sang qui est capturé dans un réseau par la technologie et finalement tellement utilisé qu'il ne reste plus qu'un caillot caoutchouteux. Mais vous voyez à quel point c'est étendu. Et c'est ce que je vois dans une goutte de sang. C'est un essaim de micro-robots. Du sang non vacciné. Comment est-ce que je sais qu'il s'agit d'un robot ? Parce qu'il n'y a rien dans le corps humain qui devrait clignoter en jaune, orange, bleu ou vert. Et vous voyez comment l'essaim de micro-robots dévore le sang. Le sang est en détresse, il est complètement agglutiné. Les globules rouges ont un potentiel de données électroniques qui est détourné et exploité. Et ici, vous pouvez voir en gros plan comment les cellules sont attaquées. C'est exactement ce qui est décrit dans la littérature sur les nanotechnologies. 30 minutes après avoir été filmé, ce sang est complètement mort. Il a donc été récolté et est maintenant un cimetière de cellules. Les robots sont passés à autre chose et maintenant, c'est un caillot caoutchouteux. Nous avons donc reçu des caillots provenant de personnes vaccinées décédées. Nous avons reçu des caillots provenant de personnes vivantes victimes des vaccins et de personnes non vaccinées. Cela ressemble à un morceau de caoutchouc. Et au microscope, ça ressemble exactement aux fils des « morgellons ». C'est cette nanotechnologie avancée. La spectroscopie proche infrarouge montre exactement la même chose : les polyamides, l'alcool polyvinylique, qui sont des plastiques, et les polyènes et alcènes, c'est-à-dire le polyéthylène glycol. Nous avons ensuite essayé de dissoudre cette substance. Nous avons utilisé les acides les plus puissants que nous avons pu trouver : acide sulfurique fort, lessive, acétone, alcool contenant de l'acétone, toluène [méthylbenzène], décapant, essence, DEET [diéthyltoluamide : répulsif chimique contre les insectes], nettoyant pour injecteurs. Une fois que cette substance s'est formée, il est impossible de la décomposer. Ce que vous voyez ici, c'est donc du sang non vacciné et fortement contaminé. Ces filaments sont les zones de construction... le sang est en détresse parce qu'il se présente sous forme de rouleaux, il s'agglutine. Il ne transporte pas d'oxygène. Et ici, vous pouvez voir que le sang non vacciné développe le même caillot caoutchouteux. Mais lorsque j'ai commencé à traiter des personnes avec de l'EDTA [l'EDTA (calcium disodique EDTA) est un agent chélatant de qualité pharmaceutique développé pour se lier à certains métaux traces et les rendre inactifs ; il est destiné à compléter la thérapie par chélation de la plaque et d'autres dépôts minéraux dans l'ensemble du système cardiovasculaire] et de la vitamine C, j'ai remarqué : « Attendez une minute, quand j'utilise ces molécules, ça ne coagule pas. » J'ai donc traité ces personnes avec ces remèdes. Tout d'abord, leurs D-dimères se sont améliorés. Ensuite, leurs symptômes se sont atténués. L'EDTA est une molécule qui extrait les métaux lourds toxiques. Et ici, vous voyez un caillot gommeux provenant de personnes non vaccinées. Dans le caillot lui-même, vous voyez les mêmes liposomes et les mêmes couches de polymères. Vous voyez le même champ avec des bulles qui consument les globules rouges. Et ici, vous voyez comment les micro-robots construisent littéralement le caillot lui-même. J'ai filmé cela pour avoir la preuve de mes dires. Et ce que vous voyez ici a été filmé par mon collègue Felipe Reitz, du Brésil, qui a utilisé une thermographie CT spéciale. Il a modifié le réglage de la caméra pour la rendre beaucoup plus sensible que la thermographie habituelle. Et ici, vous pouvez voir la quantité de micro caillots qu'une personne vaccinée a dans son système. Ce sont des veines superficielles. C'est extraordinaire. Les médecins traditionnels ne peuvent pas détecter ça. Il s'agit d'un jeune homme de 23 ans vacciné contre le Covid. Vous pouvez voir ce gros caillot dans la jambe, qui a ensuite été confirmé par échographie, puis opéré. Il est important de savoir que de nombreux produits médicaux injectables contiennent également cette substance. Voici ma microscopie du Lantus, une insuline à action prolongée. Vous pouvez voir les mêmes micro-robots et leurs hydrogels auto-assemblés. Les personnes qui doivent prendre ces médicaments peuvent également le vérifier dans la description du médicament. Il contient plusieurs hydrogels. Et ils utilisent ça dans les médicaments. Vous pouvez également voir ici l'analyse de l'université du Colorado à Boulder. Nous avons découvert que les anesthésiques dentaires contiennent des nanotechnologies. Et l'université du Colorado a déclaré que le chlorhydrate d'articaïne avec de l'épinéphrine [anesthésique local utilisé en dentisterie] contient du graphène. Voici la microscopie correspondante. J'ai examiné le même anesthésique. Vous pouvez voir que ces liposomes se déplacent très, très rapidement. Mais ce que je voudrais vous montrer, c'est la vitesse à laquelle les micropuces se développent dans cette zone. Ici, vous pouvez voir comment une micropuce s'assemble toute seule. Si vous attendez quelques secondes, vous verrez ici une autre micropuce qui s'assemble toute seule. Et en voici une autre. Il s'agit donc d'un auto-assemblage extrêmement rapide. J'ai déjà reçu dans mon cabinet des patients du monde entier qui, par exemple, ont reçu des anesthésiques dentaires et ont ensuite développé un cancer turbo. Leurs corps envoyaient des adresses MAC. Le sang a un aspect horrible après l'administration de ces anesthésiques. Voici un cas que j'ai eu, un patient qui a reçu une anesthésie dentaire et qui a développé ces caillots caoutchouteux pendant trois jours sans interruption. C'était du caoutchouc pur. Ça ne s'arrêtait pas. J'ai dû lui faire une perfusion d'EDTA et de vitamine C, et ça s'est arrêté en 30 minutes. Ici, vous pouvez voir que des micropuces sont implantées dans du sang non vacciné. Voici la micropuce. Ce sont les nanorobots et les microrobots qui se dispersent. Et ils utilisent l'électricité du sang comme source d'énergie. Et ils construisent eux-mêmes les polymères ici. J'ai donc toutes les preuves, si seulement le monde voulait bien écouter. C'est désormais visible chez tous les êtres humains. Au cours des deux dernières années et demie, je n'ai vu personne qui ait du sang propre. Vous voyez également que ces robots sont contrôlés par une intelligence artificielle. Ils savent exactement où aller et ce qu'ils doivent faire. Ici, vous voyez un autre échantillon de sang non vacciné, qui est utilisé pour fabriquer ces micropuces. Et ici, vous voyez par exemple à quel point les micro-robots sont intelligents. Vous voyez ici un fil et la vitesse à laquelle ces robots se déplacent. Nous avons calculé que leur vitesse est d'environ 80 km/heure. Ils sont capables de contourner les obstacles. Et ils peuvent communiquer entre eux par fréquences. Ils interagissent également avec la 5G, les téléphones portables, les antennes-relais, etc. Ce que vous voyez ici, c'est qu'ils sont également pulvérisés depuis le ciel. Dane Wigington a parlé avec un lanceur d'alerte qui a révélé que 40 millions de tonnes de nanoparticules métalliques et d'oxyde de graphène sont pulvérisées dans le monde entier, et que nous et tous les animaux nous les respirons. Ils disent qu'ils veulent obscurcir le soleil et mener des recherches sur le climat. Non, ils détruisent notre biosphère. C'est pourquoi les espèces disparaissent, parce qu'elles sont empoisonnées par l'aluminium, le strontium et le baryum, qui empêchent les systèmes électriques des plantes de fonctionner. Les animaux sont empoisonnés. Tout ça, c’est les composants de la « poussière intelligente ». La « poussière intelligente » est constituée des nano senseurs qui se trouvent désormais dans le sang humain. Vous pouvez voir ici les brevets relatifs à la modification de l'atmosphère et à la géo-ingénierie. Et qu'utilisent-ils ? Des polyalkylène glycols et du polyéthylène glycol. La même substance qu'ils mettent dans les vaccins contre le COVID. Voici une analyse microscopique de l'eau de pluie. Vous voyez à quoi ressemble l'eau de pluie, et vous voyez ces fils roses. Et ici, vous voyez du sang humain dans mon bureau, et vous voyez les fils roses. Ils se retrouvent dans notre sang, puis dans notre système organique. L'American Chemical Society a publié un article selon lequel, par exemple, le placenta humain contient désormais 465 microgrammes par gramme de tissu, ou que le cerveau humain contient environ 7 g de microplastiques lors d'une autopsie [à titre de comparaison, une cuillère en plastique pèse en moyenne 5 g]. Ce chiffre a augmenté de plus de 50 % depuis 2020. Nous nous trouvons dans une situation où l'espèce humaine, tout comme notre biosphère, est menacée d'extinction. Vous voyez ici le sang d'un écureuil. Et vous voyez que les mêmes fils et nanotechnologies s'y trouvent également. Voici un chevreuil dont j'ai analysé le sang. La même technologie se trouve dans ces animaux. Voici un de mes patients qui suivait un régime carnivore. Il a mangé une vache qui n'était pas vaccinée. Elle était nourrie uniquement avec de l'herbe de son pâturage. Pourtant, elle contenait une quantité énorme de polymères. Et cet homme est tombé de plus en plus malade. J'ai examiné son sang, et on voit que le sang d'une vache et le sang humain sont identiques. Car lorsqu'on consomme des polymères, on se contamine par le tube digestif. Le brevet américain de Moderna, « Compositions et méthodes de nanoparticules lipidiques » d'avril 2023, stipule que les injections COVID-19 contiennent des nanoparticules dissimulées qui contiennent du polyéthylène, du polyamide, c'est-à-dire du nylon, de la soie d'araignée ou du Kevlar [fibre synthétique à base de (para-)aramide]. Elles contiennent du polyvinylalcool, c'est-à-dire exactement ce que nous avons trouvé, à savoir du plastique. Elles contiennent même du polyméthacrylate, une super colle. Pourquoi injecter une super colle à un être humain ? Le polyuréthane et le polystyrène sont du polystyrène expansé. C'est indiqué dans leurs propres brevets, et nous l'avons trouvé dans le sang. Je pense qu'il s'agit là d'une corrélation significative. Vous voyez donc, grâce à mes expériences, que le sang ne coagule pas avec l'EDTA et la vitamine C. Et c'était important, car Clifford Carnicom, par exemple, a pu cultiver à partir de sang humain ces longues choses caoutchouteuses composées de polyvinylalcool, de polyamides et de polyuréthane. Elles ressemblent exactement aux caillots des personnes décédées qui ont reçu le vaccin COVID. Et ils peuvent devenir très longs. Ils continuent de croître à l'extérieur du corps, et comme vous pouvez le voir ici, le même brevet explique comment empêcher la croissance des nanoparticules. Donc, si vous voulez inhiber les nanoparticules lipidiques, vous devez utiliser un agent chélatant et un agent réducteur. Et il était recommandé d'utiliser de l'EDTA et de l'acide ascorbique, c'est-à-dire de la vitamine C, que j'utilise déjà depuis plusieurs années et qui a fait ses preuves. Et voici la confirmation que c'était bien l'antidote selon le brevet de Moderna. Voici donc mes expériences avec le vaccin Pfizer-BioNTech contre le COVID. Voici l'EDTA sous forme intraveineuse et la vitamine C sous forme intraveineuse. Vous voyez donc à nouveau les ampoules Pfizer avec toutes les nanoparticules et les micro-robots. J'ajoute ensuite une goutte d'EDTA et de vitamine C, et c'est comme une bombe atomique qui tombe sur ces nanoparticules lipidiques. Ici, vous pouvez voir qu'à un grossissement de 2 000 fois, rien ne bouge, car les micro-robots contiennent des métaux et l'EDTA lie les métaux. L'EDTA lie également l'aluminium et le titane qui font croître les polymères. Et voilà ! Si vous voyez cela : il s'agit d'un test de métaux dans l'urine. Donc, si j'administre une perfusion d'EDTA-chélate et que je recueille l'urine après six heures, cela extrait d'énormes quantités d'aluminium de cette personne. Vous savez que l'antimoine provoque une insuffisance cardiaque congestive, l'aluminium et le baryum sont pulvérisés dans le ciel, tout comme le plomb. Avant 2020, je n'avais jamais vu d'uranium. Maintenant, tout le monde a de l'uranium. Et devinez quoi ? Cela fait proliférer vos cancers. Ensuite, vous voyez du platine, du palladium, du nickel, du mercure, du gadolinium. Tous ces métaux sont utilisés par l'armée pour rendre les gens plus visibles, pour l'espionnage et la reconnaissance faciale, pour la surveillance par satellite et la localisation GPS dans les villes intelligentes. Plus vous avez de métaux dans votre organisme, plus vous pouvez être facilement suivi. Et ce sont également les éléments constitutifs de la nanotechnologie. L'EDTA élimine donc toutes ces substances. Ici, vous voyez une personne fortement contaminée. Les globules rouges sont en détresse, ils sont fortement contaminés par ces polymères. Vous avez des micro-robots à l'intérieur de vous. Vous pouvez les voir ici, ces lumières bleues clignotantes sont des micro-robots. Ce sont des personnes très symptomatiques, elles ont des troubles cognitifs et des palpitations cardiaques, elles sont extrêmement fatiguées, elles ont l'impression d'avoir vieilli de 20 ou 30 ans. Ou disons qu'elles développent un cancer turbo. Ensuite, nous purifions le sang et trois jours après la thérapie par perfusion, vous voyez que le sang est beaucoup, beaucoup mieux. Ces petites cellules blanches sont des globules blancs. Regardez ici le grossissement plus important ! Voilà à quoi ressemble du sang normal. Nous avons ainsi restauré le potentiel zêta [potentiel électrocinétique], la membrane cellulaire, et vous voyez que la circulation sanguine se remet en marche et que ces cellules peuvent libérer de l'oxygène. Pour cela, j'utilise beaucoup de choses différentes. Le Dr Francis Boyle [1950-2025] était membre et conseiller du conseil d'administration du « National American Renaissance Movement », dont j'ai moi-même été membre du conseil d'administration. Il a rédigé les lois sur les armes biologiques pour les États-Unis et a déclaré que les injections COVID étaient des armes biologiques de destruction massive, ce qu'il a confirmé lors de notre procès. Malheureusement, il est décédé depuis. Enfin, il convient de noter que toute vie est contaminée par les nanotechnologies sous forme de microplastiques, de biocapteurs et de métaux. Ils sont dispersés dans l'atmosphère par la géo-ingénierie. Si nous voulons survivre en tant qu'espèce, nous devons lutter à la fois contre la géo-ingénierie et le complexe pharmaceutique qui l'utilise dans toutes ces préparations pharmaceutiques injectables. Les aliments cultivés en plein air sont toxiques en raison de la géo-ingénierie. Essayez donc, dans la mesure du possible, de les cultiver dans des serres. Lorsque les gens les consomment, ils s'accumulent dans leur corps. Il a été démontré que la géo-ingénierie pulvérise des moisissures, des agents pathogènes, du graphène et des métaux. Il s'agit d'une guerre biologique à tous les niveaux, menée par l'armée américaine et d'autres armées à travers le monde sous le couvert de la géo-ingénierie. À l'heure actuelle, il n'est pas possible de détoxifier complètement un être humain. Mais ce que nous pouvons faire, c'est travailler autant que possible à la détoxification et soutenir au mieux l'organisme avec d'autres molécules afin de reconstruire ce qui a été détruit. J'utilise par exemple de l'acide ascorbique, c'est-à-dire de la vitamine C, à très forte dose. Et lorsqu'on le met dans une solution aqueuse, il produit un courant électrique. Nous savons que ces microplastiques se trouvent dans le muscle cardiaque et dans le cerveau humain, c'est pourquoi nous devons essayer de réduire la quantité absorbée. Car une fois que ces substances se sont installées dans notre système organique, il est pratiquement impossible de les éliminer. J'utilise l'EDTA sous forme intraveineuse, mais aussi... Il existe des formes orales, des substances liposomales ou des suppositoires que l'on peut utiliser. Il faut s'assurer que les personnes ont une fonction rénale suffisante. Et le matin, il faut toujours donner des multivitamines. J'utilise par exemple le produit « Restore » du Dr Tennant, qui contient tous les nutriments nécessaires. Mes patients ou moi-même en faisons un smoothie. Et nous utilisons de la vitamine C à fortes doses, car c'est un chélateur. Ainsi, la vitamine C est déjà présente dans votre corps et se lie à ces métaux dès que vous les inhalez, puis les élimine dans l'urine. Vous devez donc avoir ces éléments à disposition pour vous détoxifier en continu. J'utilise de la chlorophylle chez mes patients et je veille à ce que leur taux d'oxyde nitrique soit correct. La NAC [N-acétyl-L-cystéine] s'est avérée utile car elle augmente la production de glutathion. Le glutathion(GSH) est un tripeptide formé à partir des trois acides aminés glutamique, cystéine et glycine. Il est présent en forte concentration dans presque toutes les cellules et fait partie des substances antioxydantes les plus importantes de l'organisme. Il constitue également une réserve de cystéine]. Puis 8 à 10 g de vitamine C par jour. Ce sont des doses très élevées. J'utilise de l'acide humique et de l'acide formique. Comme les micro caillots se développent chez les personnes victimes de piraterie électrique, j'utilise la nattokinase[= une enzyme isolée à partir de graines de soja fermentées ; considérée comme un anticoagulant naturel, elle est donc utilisée en naturopathie pour prévenir les maladies cardiovasculaires. Actuellement, la nattokinase est également à l'étude pour lutter contre la protéine Spike du SARS-CoV2]. Également pour dégrader les microplastiques. Le bleu de méthylène s'est également révélé efficace dans mes expériences pour réduire ou inhiber la formation de caillots. De plus, c'est un donneur d'électricité et un produit disponible sans ordonnance. J'utilise entre 20 et 50 milligrammes. Les personnes extrêmement sensibles aux ondes électromagnétiques, qui souffrent d'une surcharge de ce produit dans leur corps et d'une intoxication aux moisissures, peuvent utiliser du charbon actif pour régénérer leur microbiome grâce à des probiotiques. L'acide malique a été mentionné dans le brevet Moderna. Il est extrait des pommes et est l'un des antidotes permettant d'inhiber les nanoparticules lipidiques. Le Dr Hildegarde Staninger utilisait des huiles essentielles parce qu'elle avait fait des expériences avec des gobelets en polystyrène. En effet, lorsqu'on y ajoute de l'eau et quelques gouttes d'huile de citron, le plastique, le polystyrène, se dissout. Lorsque les gens mangent de la viande sans savoir si elle a été injectée avec de l'ARNm provenant de vaccins... J'ai examiné de nombreux vaccins pour enfants, ils contiennent tous la même technologie. On met donc des huiles essentielles de pamplemousse, de citron et de cannelle dans une capsule que l'on peut prendre avec de la viande, par exemple, afin que les particules de microplastique se dissolvent dans l'intestin. Je travaille avec des dentistes holistiques et nous avons découvert qu'on trouve des nanorobots provenant de préparations dentaires dans les gencives. Ainsi, lorsque les gens mangent quelque chose, ils avalent ces choses. Pour cela, nous utilisons du charbon actif et du dentifrice probiotique. Une alimentation alcaline et la mise à la terre peuvent aider. Votre téléphone portable est une arme. Je n'utilise pas de téléphone portable. Même si je suis médecin, je n'en ai pas. Je n'utilise qu'un câble Ethernet. Je n'utilise pas le Wi-Fi. Évitez les rayonnements électromagnétiques, car ils favorisent la prolifération de ces substances. La mise à la terre aide énormément. Le Dr Pedro Chávez, a mené des tests sur des personnes vaccinées. Ils ont envoyé une adresse MAC qui était surveillée via Bluetooth. Lorsqu'ils ont enlevé leurs chaussures et marché pieds nus, l'adresse MAC a disparu. Nous pouvons donc nous aider nous-mêmes en recherchant la proximité avec la nature. Et les gens doivent faire analyser leur sang par des personnes qui savent ce qu'elles voient. Beaucoup de gens font des analyses sanguines et nient avoir vu quoi que ce soit. Je pense donc qu'il faut quelqu'un qui sache ce qu'il fait. En ce qui concerne la prévention du cancer, je constate actuellement un nombre énorme de cas de cancer turbo chez les personnes âgées de 30, 40 et 50 ans, même chez les personnes non vaccinées. Je pense que c’est absolument dû au shedding. J'ai déjà eu de nombreux patients qui sont décédés en l'espace de huit mois, extrêmement rapidement. C'est pourquoi j'utilise des remèdes qui inhibent la voie métabolique de la galectine, par laquelle les nanoparticules provoquent le cancer, comme par exemple 2000 milligrammes de curcumine. La berbérine peut être très, très utile. J'utilise l'ivermectine et le fenbendazole [anthelminthique à large spectre appartenant au groupe des benzimidazoles. Il est utilisé en médecine vétérinaire comme agent contre les endoparasites]. Et l'administration intermittente peut également contribuer à la prévention du cancer. Il a été prouvé que la nicotine bloque les récepteurs de l'acétylcholine. La toxicité des pesticides et des nanoparticules affecte le système nerveux autonome. La nicotine peut inhiber cet effet. La toxicité des nanoparticules a également légèrement diminué. J'aime bien Plaquex, qui contient de la phosphatidylcholine. Ce produit est disponible en Suisse et en Allemagne et régénère la membrane cellulaire. Plus la membrane cellulaire est solide, mieux les cellules peuvent résister à l'attaque des nanorobots. Si vous souhaitez en savoir plus sur le sujet, j'ai publié deux livres sur cette recherche : « Transhuman » ; tomes un et deux. Mon livre sur la médecine par la lumière contient de nombreuses explications sur la façon dont vous pouvez considérer le corps physique d'un point de vue électrique, car c'est précisément ce qu'ils attaquent. Ils nous attaquent également sur le plan spirituel. Beaucoup de personnes qui ont ces substances en elles ont le sentiment que leur connexion avec Dieu est perturbée et souffrent parfois de dépression ou de pensées suicidaires. Je pense qu'il s'agit d'une guerre électromagnétique et d'un contrôle mental. Des personnes qui n'avaient jamais été suicidaires sont désormais dépressives et ont des pensées sombres. Et quand je fais les perfusions d'EDTA, c'est comme un exorcisme chimique. Il y a beaucoup plus d'informations sur mon Substack, [= site web américain où les auteurs peuvent proposer des newsletters et des contenus multimédias dans le cadre d'un abonnement], qui reste accessible gratuitement en ligne. Et je pense que les gens doivent prendre des précautions, se réveiller et faire tout ce qu'ils peuvent pour lutter contre la géo-ingénierie. Ne prenez plus aucun vaccin ni aucune injection provenant d'une société pharmaceutique. Vous êtes tous impliqués dans cela. Et je crois que nous nous battons pour notre vie. C'est pourquoi il est important de rester dans une fréquence vibratoire d'amour, de joie, de connexion et de respect pour la nature, plutôt que de détruire notre biosphère. Tout cela est important. Je termine ici mon exposé. Merci beaucoup pour votre attention. Spectateurs : Merci. Merci beaucoup ! Avec plaisir. Merci à tous ! Merci beaucoup de m'avoir permis d'être ici. Prenez soin de vous ! La conférence de Mme Ana Maria Mihalcea est directement reliée au discours d'Ivo Sasek qui a suivi et ne peut être publiée séparément. – L’équipe de production – Conclusion d’Ivo Sasek : Merci, merci. C'était un sujet difficile. Mais nous vous remercions d'avoir partagé ces connaissances avec nous. Mes chers amis, j'en arrive maintenant à la conclusion. Vous comprenez ce que j'ai dit au début, à quel point cela nous touche de près, n'est-ce pas ? Nous n'avons pas seulement à faire à des êtres humains, vous voyez ici à l'œuvre des intelligences que nous avons clairement démasquées comme des forces diaboliques. Je voudrais maintenant vous donner un peu d'espoir, car ce que nous venons d'entendre, la dernière intervention, est évident, et cela vous rend fou, n'est-ce pas ? Vous pouvez maintenant réfléchir à ce qu'elle a dit, à ceci et à cela. Que voulez-vous faire maintenant, avaler toute la gamme de comprimés ? Je ne dis pas qu'il ne faut pas en faire usage. Mais je vois prophétiquement dans vos cœurs ce qui se passe actuellement. On devient fou, tu comprends ? Qui peut t'aider ? Et puis tu ne fais plus que tourner autour de ces choses. Et c'est exactement cela qui nous tue encore plus que les substances qu'on nous injecte. Je ne dis pas qu'il est mauvais de prendre de la vitamine C et de faire quelque chose. Mais je voudrais souligner un point. Je reviens à ce que j'ai dit au début. Il y a ce Dieu, il y a cette puissance qui nous a été démontrée et qui, même après 2000 ans, est toujours d'actualité. Nous sommes en contact avec des milliers de personnes et nous voyons comment des gens sont guéris de manière surnaturelle, encore et encore. Des maladies les plus incurables, d'un instant à l'autre. La Bible nous donne tous ces pouvoirs, si seulement nous reconnaissons qui nous sommes. Guérissez les malades ! – Un ordre de Jésus. Réveillez les morts, purifiez les lépreux ! Qu'est-ce que cela signifie ? C'est une intervention dans la biologie de l'être humain de toute espèce. Et puis Jésus vient et dit : « Ceux qui croient maintenant, s'ils boivent quelque chose de mortel, cela ne leur fera pas de mal. » Vous voyez, c'est mon ancrage. Je me sens contaminé de la tête aux pieds, je dois l'avouer honnêtement – depuis longtemps déjà. J'ai lutté pour ma vie, encore ces derniers mois. Je pourrais écrire des livres entiers à ce sujet. C'est un véritable enfer. Mais vous voyez, je suis là. Je suis là. Je suis là ! Et savez-vous pourquoi je suis ici ? Parce que toutes ces personnes merveilleuses ont uni leur volonté dans l'esprit, dans leurs prières. Elles se sont battues pour moi, vous comprenez ? Elles se sont battues nuit et jour. Je n'ai pas dormi correctement pendant des centaines de nuits. Une heure, deux heures, ce genre de choses. Mais je suis ici et je te dis que je suis guéri, que je suis en bonne santé, parce que ces personnes ont uni leur force spirituelle à travers notre prière matinale. J'ai expliqué les cinq premières minutes. Les cinq minutes suivantes nous permettent de comprendre, d'apprendre à voir plus profondément, d'apprendre à voir de manière surnaturelle. Les 5 dernières minutes sont toujours consacrées à la guérison, où nous apprenons à guérir ce qui est malade en nous. C'est le chemin, je vous le dis, le dernier. Nous pouvons emprunter n'importe quel autre chemin. Ce n'est pas une contrainte que nous imposons ici, c'est une issue. Et que vous soyez chrétiens ou non, cela m'importe peu, tout ce qui m'importe, c'est si vous aimez la vérité ou non. Êtes-vous justes ou non ? Nous possédons ensemble des capacités divines pour proclamer la guérison, pour opérer le changement. Nous pouvons vous montrer des vidéos où vous verrez en trois minutes – vous pouvez regarder – comment des corps enflés, des corps déformés se lèvent en trois minutes et tout disparaît. Grâce au surnaturel qui est en nous, nous pouvons influencer tout. Jésus nous a enseigné que tout est possible. Rien n'est impossible à celui qui croit. C'est sur ce cheval que je mise. C'est la carte que je sors de ma manche, mon joker qui me libère de la peur. Et je répète encore une fois ce que j'ai dit au début. Nous avons non seulement le pouvoir de guérir, mais aussi celui de lier ces personnes qui sont guidées par des êtres démoniaques qui développent cette nanorobotique, etc. Ce sont des sagesses démoniaques, vous comprenez ? Mais si nous sommes unis, nous avons le pouvoir de les lier afin qu'elles entrent dans un jugement de soi. Et cela se produit, comme cela s'est produit pour Ivo Sasek. Soudain, sans que vous puissiez rien y faire, vous avez chaud de la tête aux pieds. Vous vous trouvez en présence de Dieu, vous voyez vos fautes, vos péchés. Je me suis effondré en 1977 sous l'effet de cette puissance de Dieu. Pourquoi ? Parce que ma grand-mère a prié. Parce que des gens ont prié pour moi et ont dit : « Que la lumière soit sur cette personne ! » Ils ont proclamé au-dessus de moi : « Que la lumière soit sur cette personne ! » Je me suis effondré, j'ai vu toute ma vie de merde devant moi, à quel point elle était absurde, impie, à quel point j'étais perdu. Et puis je me suis mis à genoux et j'ai donné ma vie à Dieu. Je parle ici d'auto-jugement, mes amis. Depuis 1977, je me juge moi-même. Et tout ce que je fais de mal vient automatiquement de l'intérieur et me corrige. C'est la robotique de Dieu en moi, c'est son Esprit en moi. Et j'efface moi-même ma vie. Je suis devenu un homme fidèle, tu comprends ? Je suis marié depuis 41 ans à ma merveilleuse Anni. Nous avons élevé onze enfants. Je l'aime chaque jour davantage. Ce n'était pas du tout ma nature autrefois, ce n'était pas du tout ma nature. Je recommande que nous misions sur ce cheval. Chaque matin, nous prions ensemble. Tout d'abord, nous disons pendant cinq minutes : « Péché, mort et diable, ainsi que vos 13 domaines vassaux, vous vous jugez vous-mêmes ! Vous vous trahissez vous-mêmes ! Vous vous détruisez vous-mêmes ! Vous pouvez manger vous-mêmes tout cela ! Nous devenons libres. Vous vous contaminez vous-mêmes ! » Vous comprenez ? Deuxième compartiment, pendant les cinq minutes suivantes, nous prions ensemble pour que davantage de lumière révélatrice, de lumière qui dévoile et de fécondation spirituelle se produise en nous. Pendant les cinq minutes suivantes, nous prions et disons : « Tu es guéri ! » Chaque matin, je dis : « OCG tout entier, tu es guéri ! Tu es la santé divine. » Et ainsi, d'un côté, nous alignons notre esprit et prenons le pouvoir ici-bas pour renverser ces forces maléfiques – la puissance de l'esprit. Et nous utilisons cette même force pour manifester la guérison en nous. Je tiens à remercier encore une fois toute l'OCG qui m'a soutenu ces derniers mois, dans cette lutte à mort. Je suis guéri ! Je suis guéri ! Je suis guéri, ouais ! Je vous remercie d'avoir été là. Vous avez persévéré avec nous toute la journée, toute la nuit, selon les cas. Abordez l'avenir avec espoir. Nous nous aimons les uns les autres. Nous ne faisons qu'un, nous sommes un organisme et nous remporterons la victoire ensemble. Nous ne céderons pas un instant, nous ne baisserons pas les bras, nous ne dirons pas que nous perdons. Non, nous gagnerons, car nous avons en nous une puissance supérieure, une force supérieure. Oui, d'accord. Soyez bénis. Nous nous reverrons un jour. Bonne chance à tous. Nous vous aimons. Nous vous aimons de tout notre cœur. Merci encore à tous les intervenants. Merci à tous. À bientôt. Nous recommandons également le discours plein d'espoir d'Ivo Sasek « Principes de transformation » de 2011.

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Sources/Liens : https://ec.europa.eu/futurium/en/system/files/ged/futurium_scientific_report_v10revcl_v2_0.pdf