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DAN :"Une façon non conventionnelle de traiter les banques"
Mesdames et Messieurs, aujourd’hui nous célébrons ensemble une étape importante dans l’histoire de notre chaîne d’information, car vous allez entendre pour la première fois D’Autres Nouvelles sur notre site.[lire la suite]
Mesdames et Messieurs, aujourd’hui nous célébrons ensemble une étape importante dans l’histoire de notre chaîne d’information, car vous allez entendre pour la première fois D’Autres Nouvelles sur notre site. Des Autres Nouvelles, ce sont des informations positives et des annonces de victoires dans le combat pour la vérité, qui, à notre grande joie, nous parviennent de plus en plus ces derniers temps.
Ce faisant, nous vous encourageons vous aussi mesdames et messieurs à ne pas seulement nous envoyer des plaintes, mais également des victoires.
Nous les publierons volontiers sous le titre : « Des Autres Nouvelles », en abrégé DAN.
Et maintenant le temps est arrivé, avec une grande joie pour moi de vous présenter la première émission DAN en français. C'est avec une grande joie que nous allons maintenant vous présenter la 1ére émission DAN en francais.
"Une façon non conventionnelle de traiter les banques"
Au cours du Forum économique mondial de Davos, le Président islandais Olafur Ragnar Grimsson a donné des interviews très intéressantes sur l’évolution positive de son pays depuis 2008, quand les Islandais ont refusé de sauver les banques en faillite au moyen de l’argent
de leurs impôts. Quand on lui a fait remarquer que la situation en Islande était complètement différente de celle d’autres pays, Grimsson a répondu : « Bien que
la situation soit différente en Islande, je pense qu’en tous les pays, qu’ils
soient grands ou petits, font face aux mêmes problèmes et peuvent appliquer des solutions similaires. Dans notre cas, nous avons décidé de laisser les banques faire faillite. Ce sont des banques privées et, comme je l’ai dit, je n’ai jamais compris pourquoi les banques devraient être les temples sacrés de l’économie moderne. Alors qu’il est normal de laisser d’autres entreprises privées faire faillite, quand une banque a des problèmes, aussitôt tout le monde arrive en courant et hurle : « Non, non, non, on ne peut pas laisser faire ça… » Nous sommes allés à l’encontre du point de vue orthodoxe de la finance mondiale qui dominent aux USA et en Europe et maintenant, quatre ans plus tard, l’Islande se rétablit de façon remarquable. Entre autres mesures, cette approche non conventionnelle du traitement des banques, que le peuple islandais a montré, se révèle être la clé pour surmonter la crise financière. Pourquoi les autres pays endettés ne suivent-ils pas leur exemple ?
Texte de l'émission
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12.08.2015 | www.kla.tv/6484
Mesdames et Messieurs, aujourd’hui nous célébrons ensemble une étape importante dans l’histoire de notre chaîne d’information, car vous allez entendre pour la première fois D’Autres Nouvelles sur notre site. Des Autres Nouvelles, ce sont des informations positives et des annonces de victoires dans le combat pour la vérité, qui, à notre grande joie, nous parviennent de plus en plus ces derniers temps. Ce faisant, nous vous encourageons vous aussi mesdames et messieurs à ne pas seulement nous envoyer des plaintes, mais également des victoires. Nous les publierons volontiers sous le titre : « Des Autres Nouvelles », en abrégé DAN. Et maintenant le temps est arrivé, avec une grande joie pour moi de vous présenter la première émission DAN en français. C'est avec une grande joie que nous allons maintenant vous présenter la 1ére émission DAN en francais. "Une façon non conventionnelle de traiter les banques" Au cours du Forum économique mondial de Davos, le Président islandais Olafur Ragnar Grimsson a donné des interviews très intéressantes sur l’évolution positive de son pays depuis 2008, quand les Islandais ont refusé de sauver les banques en faillite au moyen de l’argent de leurs impôts. Quand on lui a fait remarquer que la situation en Islande était complètement différente de celle d’autres pays, Grimsson a répondu : « Bien que la situation soit différente en Islande, je pense qu’en tous les pays, qu’ils soient grands ou petits, font face aux mêmes problèmes et peuvent appliquer des solutions similaires. Dans notre cas, nous avons décidé de laisser les banques faire faillite. Ce sont des banques privées et, comme je l’ai dit, je n’ai jamais compris pourquoi les banques devraient être les temples sacrés de l’économie moderne. Alors qu’il est normal de laisser d’autres entreprises privées faire faillite, quand une banque a des problèmes, aussitôt tout le monde arrive en courant et hurle : « Non, non, non, on ne peut pas laisser faire ça… » Nous sommes allés à l’encontre du point de vue orthodoxe de la finance mondiale qui dominent aux USA et en Europe et maintenant, quatre ans plus tard, l’Islande se rétablit de façon remarquable. Entre autres mesures, cette approche non conventionnelle du traitement des banques, que le peuple islandais a montré, se révèle être la clé pour surmonter la crise financière. Pourquoi les autres pays endettés ne suivent-ils pas leur exemple ?
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