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Le fondateur de Red Bull s’oppose au diktat d‘opinion
Dietrich Mateschitz a attiré l’attention par ses nombreuses déclarations lors d’une interview en avril 2017 à l’occasion du 30ème anniversaire de la marque mondiale Red Bull, qu’il a fondée.
« L’opinion dictée par le politiquement correct dit : la Russie est un Etat voyou, le mal par excellence ; et nous sommes les bons. Quiconque ne le voit pas comme ça a tort. Alors la liberté d’expression est vite dépassée, car elle n’est accordée que si vous avez la même opinion que ces gens-là. »[lire la suite]
Dietrich Mateschitz a attiré l’attention par ses nombreuses déclarations lors d’une interview en avril 2017 à l’occasion du 30ème anniversaire de la marque mondiale Red Bull, qu’il a fondée.
« L’opinion dictée par le politiquement correct dit : la Russie est un Etat voyou, le mal par excellence ; et nous sommes les bons. Quiconque ne le voit pas comme ça a tort. Alors la liberté d’expression est vite dépassée, car elle n’est accordée que si vous avez la même opinion que ces gens-là. »
Sur la question de l’afflux de réfugiés, il a dit :
« Même à ce moment- là, il était déjà clair pour tout le monde que la majorité de ces personnes ne correspondaient pas à la définition du réfugié – du moins pas à celle de la Convention de Genève. Surtout, personne ne peut et ne doit s’intéresser à la déstabilisation de l’Europe ».
Mateschitz se décrit lui-même dans l’interview comme « quelqu’un qui s’oppose fondamentalement à toute opinion dictée ». Il révèle en même temps comment fonctionnent les tactiques astucieuses des médias pour maintenir ce diktat. Dans une large mesure on peut encore exprimer sa propre opinion, mais quiconque n’est pas d’accord avec eux est rapidement étiqueté comme complotiste ou populiste de droite ».
Quand ces jours-ci Dietrich Mateschitz, l’homme le plus riche d’Autriche et fondateur de Red Bull, parle du fait que « la liberté d’expression n’est accordée qu’aux personnes qui partagent la même opinion que certains milieux politiques et médiatiques », il n’est pas tout seul à dire cela. De plus en plus de personnalités connues le font de la même manière, comme le célèbre chanteur Xavier Naidoo, l’ancien membre du parlement du Bundestag Willy Wimmer, le sportif extrême Felix Baumgartner ou le médecin autrichien Johann Loibner. Ils parlent tous d’une opinion dominante dictée, d’une « interdiction de parler », qu’il faut contrer. Ce qui est inquiétant, c’est ce qui arrive par exemple aux citoyens qui, sur la base d’une opinion dissidente, ne vaccinent pas leurs enfants. Ceux-ci ne sont plus simplement calomniés en paroles, mais punis d’amendes légales et cela peut aller jusqu’au point où les enfants leur sont enlevés, comme cela a été le cas récemment en Italie.
Texte de l'émission
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22.10.2017 | www.kla.tv/11332
Dietrich Mateschitz a attiré l’attention par ses nombreuses déclarations lors d’une interview en avril 2017 à l’occasion du 30ème anniversaire de la marque mondiale Red Bull, qu’il a fondée. « L’opinion dictée par le politiquement correct dit : la Russie est un Etat voyou, le mal par excellence ; et nous sommes les bons. Quiconque ne le voit pas comme ça a tort. Alors la liberté d’expression est vite dépassée, car elle n’est accordée que si vous avez la même opinion que ces gens-là. » Sur la question de l’afflux de réfugiés, il a dit : « Même à ce moment- là, il était déjà clair pour tout le monde que la majorité de ces personnes ne correspondaient pas à la définition du réfugié – du moins pas à celle de la Convention de Genève. Surtout, personne ne peut et ne doit s’intéresser à la déstabilisation de l’Europe ». Mateschitz se décrit lui-même dans l’interview comme « quelqu’un qui s’oppose fondamentalement à toute opinion dictée ». Il révèle en même temps comment fonctionnent les tactiques astucieuses des médias pour maintenir ce diktat. Dans une large mesure on peut encore exprimer sa propre opinion, mais quiconque n’est pas d’accord avec eux est rapidement étiqueté comme complotiste ou populiste de droite ». Quand ces jours-ci Dietrich Mateschitz, l’homme le plus riche d’Autriche et fondateur de Red Bull, parle du fait que « la liberté d’expression n’est accordée qu’aux personnes qui partagent la même opinion que certains milieux politiques et médiatiques », il n’est pas tout seul à dire cela. De plus en plus de personnalités connues le font de la même manière, comme le célèbre chanteur Xavier Naidoo, l’ancien membre du parlement du Bundestag Willy Wimmer, le sportif extrême Felix Baumgartner ou le médecin autrichien Johann Loibner. Ils parlent tous d’une opinion dominante dictée, d’une « interdiction de parler », qu’il faut contrer. Ce qui est inquiétant, c’est ce qui arrive par exemple aux citoyens qui, sur la base d’une opinion dissidente, ne vaccinent pas leurs enfants. Ceux-ci ne sont plus simplement calomniés en paroles, mais punis d’amendes légales et cela peut aller jusqu’au point où les enfants leur sont enlevés, comme cela a été le cas récemment en Italie.
de mw.