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Alors que nous nous percevons comme des êtres qui pensent par eux-mêmes et disposant du libre arbitre, les neurosciences parviennent aujourd'hui à une autre conception. Soyez curieux de savoir à quelle conclusion a abouti la fameuse « expérience de Libet ».[lire la suite]
Alors que nous nous percevons comme des êtres qui pensent par eux-mêmes et disposent du libre-arbitre, les neurosciences considèrent aujourd'hui notre conscience comme un processus neurologique dans notre cerveau et le libre-arbitre comme la conséquence de ce processus. Cette idée est la principale conclusion de la célèbre « expérience de Libet ». Dans les années 1980, le neurophysiologiste américain Benjamin Libet a étudié la séquence temporelle entre une décision d'action et le mouvement physique qui l'accompagne. Il a ainsi pu mesurer des impulsions électriques dans le cerveau des sujets avant même que l'homme n'ait décidé de faire un mouvement. Le libre-arbitre de l'homme semblait donc n'être qu'une sorte d'illusion que le cerveau fait miroiter à notre conscience. En accord avec cette vision de la relation entre le cerveau et la conscience, le biologiste Ulrich Warnke explique que notre conscience est peut-être intégrée dans un champ d'information supérieur ou champ quantique supérieur, indépendamment de la matière. [3]
Blague : Avec la physique quantique, c'est comme avec le chocolat : « A peine là, il est déjà loin »
Texte de l'émission
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28.01.2022 | www.kla.tv/21450
Alors que nous nous percevons comme des êtres qui pensent par eux-mêmes et disposent du libre-arbitre, les neurosciences considèrent aujourd'hui notre conscience comme un processus neurologique dans notre cerveau et le libre-arbitre comme la conséquence de ce processus. Cette idée est la principale conclusion de la célèbre « expérience de Libet ». Dans les années 1980, le neurophysiologiste américain Benjamin Libet a étudié la séquence temporelle entre une décision d'action et le mouvement physique qui l'accompagne. Il a ainsi pu mesurer des impulsions électriques dans le cerveau des sujets avant même que l'homme n'ait décidé de faire un mouvement. Le libre-arbitre de l'homme semblait donc n'être qu'une sorte d'illusion que le cerveau fait miroiter à notre conscience. En accord avec cette vision de la relation entre le cerveau et la conscience, le biologiste Ulrich Warnke explique que notre conscience est peut-être intégrée dans un champ d'information supérieur ou champ quantique supérieur, indépendamment de la matière. [3] Blague : Avec la physique quantique, c'est comme avec le chocolat : « A peine là, il est déjà loin »
de mik