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ChatGPT – Piège pour l'asservissement de l'humanité kla.tv/37056 Agenda 2030 : Etiquetage frauduleux. Comment l'ONU entraîne le monde dans l'abîme www.kla.tv/19023 Agenda 2030 – 17 objectifs de destruction durable www.kla.tv/28498 |
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07.06.2025 | www.kla.tv/37881
[Présentateur :] Savez-vous ce qu'est un crédit social ou un système de crédit social ? Il s'agit d'un système de surveillance totale dans lequel un gouvernement espionne le comportement des citoyens de manière globale, attribue ou retire des points pour cela et - en fonction du "solde" du crédit social - les citoyens sont soit traités de manière préférentielle soit pénalisés. C'est surtout connu en Chine. Par exemple, en 2018 encore, SRF a parlé avec un regard critique des conséquences du système de crédit social chinois sur les citoyens. La même année, un membre du Parlement s'est exprimé lors du congrès du parti chinois : [Voix :] "Je demande un large éventail de sanctions pour les personnes ayant un mauvais crédit social. Ceux qui ont ce mauvais crédit doivent être limités dans leur liberté de mouvement, et ce par différents moyens." [Présenteur:] L'exemple du journaliste d'investigation Liu Hu, qui a été mis sur une liste noire pour un article sur les fonctionnaires corrompus, montre comment on peut imaginer cela de manière très pratique. Il est surveillé en permanence, peut à peine exercer son métier, ne peut plus prendre le train ni l'avion. [Voix :] Liu Hu : "Je ne peux plus réserver d'hôtels, je ne peux plus acheter d'appartement, je ne peux pas enregistrer de société ou être le représentant légal d'une organisation." [Présentateur :] Depuis, le calme est revenu dans le mainstream. Après plusieurs publications il n'y a pas eu de tollé général. La Chine est loin. Dans l'Occident démocratique, une telle chose serait impensable. Vraiment ? Presque personne ne se doute qu'on élabore déjà des plans concrets pour installer un système de points de crédit sociaux dans le monde entier. Car SRF et d'autres médias de droit public le cachent totalement, faisant ainsi miroiter à la population occidentale une sécurité factice. De quels plans s'agit-il ? [Voix :] En 2019, un groupe de membres de think tank, de politiciens, d'anciens chefs de gouvernement, d'universitaires et de représentants de l'industrie technologique s'est réuni et a fixé des objectifs concrets pour la transformation du monde entier, à l'ombre de la planification du Covid. Un livre intitulé "Remaking the world - The Age of Global Enlightenment" (Reconstruire le monde - L'ère de l'éveil mondial) a été rédigé sous la forme d'un document de travail. Parmi les contributeurs, on trouve des personnes haut placées comme la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, Vint Cerf, vice-président de Google et qu'on appelle "le père d'Internet", ou Ramu Damodaran, chef de l'initiative "Impact académique des Nations unies". Le livre a été publié sous le label "UN100", une initiative des Nations unies à l'occasion du centenaire de l'organisation en 2045. Mais c'est un influent think tank américain, le Boston Global Forum, qui tirait les ficelles. [Présentateur :] De quoi parle le livre en question ? Les auteurs écrivent que l'intelligence artificielle possède un grand potentiel pour changer nos vies, et en même temps, que l'utilisation indisciplinée de l'IA recèle un grand potentiel d'abus. C'est pourquoi il faut un "contrat social pour l'ère de l'IA" [explication du mot : contrat social : accord entre les membres d'une société de travailler ensemble pour le bien de la société], qui doit s'appliquer au monde entier - indépendamment de la diversité de tous les pays, ethnies et cultures. Ce contrat social a été analysé de plus près par Kla.TV. [Voix Off :] Le contrat social pour l'ère de l'IA - Application globale de l'IA De l'égalité promise avec l'IA au dieu numérique ? [Présentateur :] Dès le premier chapitre on voit déjà où le voyage conduit : Le contrat social pour l'ère de l'IA crée une plateforme pour une société de démocratie intelligente. De plus, il repose sur un équilibre des pouvoirs entre les gouvernements, les entreprises, la société civile, les individus et les assistants IA. Établir un tel équilibre des pouvoirs est un objectif très élevé et nécessiterait rien de moins qu'un changement de système global. En effet, la situation politique mondiale actuelle devrait plutôt être décrite comme un déséquilibre du pouvoir, dans lequel des clubs secrets et des groupes de réflexion sans contrôle démocratique définissent l'agenda. Regardez à ce sujet les documentaires de Kla.TV, sous le hashtag #CFR. Or, l'initiative UN100 poursuit précisément cette politique. La preuve en est que le contrat social pour l'ère de l'IA a également été créé sans contrôle démocratique et encore moins avec un mandat des peuples. De plus, vous avez bien entendu : l'UN100 inclut les assistants IA dans le prétendu "équilibre des pouvoirs" ! Concrètement, cela pourrait signifier, par exemple, que les intelligences artificielles aient leur mot à dire dans les processus politiques. On peut vraiment douter que l'équilibre des pouvoirs évoqué ci-dessus soit maintenu. Il semble beaucoup plus probable que cette égalité soit un premier pas vers le "dieu numérique" tant évoqué, à la direction duquel l'humanité devra un jour se soumettre. [Voix :] Démocratie intelligente [Présentateur :] La "Smart Democracy" ou démocratie intelligente mentionnée n'est pas définie plus avant dans le document de l'UN100. Faut-il entendre par là une forme de domination dans laquelle une intelligence artificielle sait toujours ce qui est le mieux pour la société ? [Voix :] On n'en est pas si loin. En 2017, le fondateur du FEM, Klaus Schwab, parlait avec admiration du fait que les technologies numériques prédictives pourraient bientôt rendre les élections démocratiques inutiles. [Klaus Schwab :] "But then the next step could be to go into a prescriptive mode, which means you do not even have to have elections anymore because you can already predict [...] and afterwards you can say "Why do we need elections?" because we know what the result will be." [fr. Sous-titre :" Mais ensuite, l'étape suivante pourrait consister à passer à un mode prescriptif, ce qui signifie qu'on n'a même plus besoin de faire des élections parce qu'on peut déjà prévoir [...] et qu'on peut ensuite dire "Pourquoi a-t-on besoin d'élections ?" parce qu'on sait ce que sera le résultat."] [Voix :] Et en effet, le contrat social parle d'encourager la société civile à planifier son avenir à l'aide d'outils d'intelligence artificielle prédictifs. [Voix :] Obligation de fournir des données complètes [Présenteur:] Une application complète de l'IA implique également une collecte et une analyse approfondies des données. Sous le titre "Modèle de gouvernement de l'IA", on peut lire ce qui suit : [Voix :] "Le cœur de la gestion de l'IA est le National Decision Making and Data Center (NDMD) [Centre national de décision et de données]. Le NDMD collecte, stocke, analyse et utilise d'énormes quantités de données pertinentes pour la fourniture de services publics et l'évaluation des programmes et des fonctionnaires publics." [Présentateur :] Ces "énormes quantités de données" doivent bien sûr être mises à disposition, et le contrat social s'exprime également à ce sujet : [Voix :] "Les individus doivent contribuer au bien commun en [...] fournissant des informations personnelles importantes [...], comme par exemple lors de la collecte de données de recensement et de l'élection de responsables publics." [Présentateur :] Il est donc prévu une obligation de remettre des "informations personnelles importantes" à une administration de l'IA. Le fait que chaque citoyen de la Terre doive en outre recevoir une identité numérique n'étonne plus guère à ce stade. Par ailleurs, il convient également de mentionner que la contrainte est une caractéristique qui traverse le contrat social. En effet, au cas où des acteurs ne respecteraient pas le contrat social, l'Alliance démocratique pour la gouvernance numérique en serait responsable. Cette autorité supranationale doit être constituée en tant que - je cite - "autorité mondiale chargée d'appliquer le contrat social pour l'ère de l'IA". [Voix :] Les objectifs de durabilité et les objectifs du FEM comme base d'analyse des données [Voix :] Pour la collecte et l'exploitation de ces données, le contrat social propose deux modèles : Premièrement, le processus de mesure des données de l'Agenda 2030, qui est lié à 17 objectifs dits de durabilité. Kla.TV a documenté de plusieurs manières, sous le hashtag #Agenda2030, comment ces objectifs servent en réalité à plonger le monde dans une nouvelle forme d'esclavage. Deuxièmement, les critères ESG du Forum économique mondial - en abrégé FEM - doivent servir de base à l'analyse des données. ESG est l'abréviation de "Environnementaux, Sociaux et Gouvernance". Le FEM est un groupe de réflexion avec une incroyable concentration de pouvoir, qui exerce une influence sur la politique internationale en contournant les structures parlementaires. Vous en saurez plus en regardant l'émission de Kla.TV "Le FEM et ceux qui tirent les ficelles - Une conspiration mondiale ?" Le militant suisse des droits civiques du mouvement de protestation face aux mesures Covid "MASS-VOLL", Nicolas Rimoldi, analyse comme suit l'intégration de ces objectifs : [Voix :] "L'utilisation des métriques de données des Objectifs de développement durable des Nations unies [...] et des critères ESG du Forum économique mondial comme base pour les décisions politiques suggère toutefois que l'IA et les politiques qui en découlent sont fortement axées sur ces objectifs mondiaux spécifiques. [...] En entraînant l'IA sur les métriques des ODD et des ESG, il est implicitement établi que seules ces données et ces objectifs seront reconnus comme vrais et pertinents. D'autres perspectives ou sources de données alternatives sont alors considérées comme moins fiables ou fausses." [Présenteur:] Conclusion : L'application globale prévue de l'IA comporte un énorme potentiel d'abus de données et transforme les gens en citoyens transparents. De plus, c'est une gigantesque prétention de la part de l'UN100 de vouloir imposer de tels plans à toute l'humanité sans aucune légitimité démocratique. Mais il y a plus grave encore. Tournons maintenant notre regard vers le cœur du contrat social. [Voix :] Le système de récompense SVR [Présentateur :] Le contrat social pour l'ère de l'IA révèle son véritable visage dans le chapitre "Social Value Reward System", en abrégé SVR et en français "Système de récompense pour la valeur sociale". Il s'agit de "créer un système de suivi et d'évaluation des gouvernements, des entreprises et des individus basé sur leur contribution au respect des normes, des standards, des valeurs communes et du droit international en matière d'honnêteté, de transparence, de responsabilité et d'obligation de rendre des comptes." Pour beaucoup, le terme de système de crédit social est plus familier ; un tel système est déjà utilisé en Chine et fortement critiqué. Il s'agit d'un système de surveillance totale qui espionne et évalue le comportement des citoyens de manière globale, qui attribue ou retire des points de crédit social pour cela et qui privilégie ou pénalise les citoyens en fonction du "solde de leur compte". Celui qui a un crédit social bas parce qu'il ne se comporte pas de manière conforme, a un Internet ralenti, paie des impôts plus élevés, perd son emploi ou son logement ou ne peut plus voyager. C'est ainsi que le Parti communiste chinois "éduque" les citoyens chinois à plus d'"honnêteté". Il est vrai que le modèle UN100 interdit les sanctions et que, selon sa propre définition, il contraste fortement avec le modèle chinois. De plus, pour des raisons techniques, le système SVR n'est pas accessible aux gouvernements. Fausse alerte donc ? Non ! [Voix :] La démarcation avec le modèle chinois n'est absolument pas crédible. Ainsi, le cofondateur du Boston Global Forum, John Quelch, a occupé pendant des années différentes fonctions à la CEIBS [explication du mot : CEIBS = China Europe International Business School]. La CEIBS est une école supérieure de Shanghai qui, étonnamment, a été créée comme projet commun du gouvernement chinois, c'est-à-dire du Parti communiste chinois, et de l'UE. Un contraste fort aurait l'air différent. Notons au passage que John Quelch et Joseph S. Nye, acteur de l'UN100, sont tous deux membres des réseaux maçonniques du gouvernement de l'ombre que sont la Commission trilatérale et le Council on Foreign Relations. Ceux-ci travaillent à leur tour activement à l'uniformisation et à l'asservissement des peuples selon le modèle chinois. [Présenteur:] Pour d'autres raisons également, il serait naïf de croire que le système de récompenses SVR ne pourrait pas évoluer vers le système de crédit social chinois. Comme l'a documenté Kla.TV dans "La Chine – ce système de domination nous menace tous !", l'État de surveillance qu'est la Chine a été financé et mis en place par les familles Rothschild et Rockefeller en tant qu'expérience sociale, afin d'étendre ensuite ce modèle de domination au monde entier. Et c'est ainsi que la dictature chinoise récolte, de manière effrayante, la reconnaissance de politiciens puissants, même sous nos latitudes. En 2013, par exemple, l'ancien Premier ministre canadien Justin Trudeau s'est exprimé ainsi : [Voix :] "Dans une certaine mesure, j'admire la Chine parce que, en raison de sa dictature fondamentale, elle est capable de transformer son économie en un clin d'œil [...]". [Présenteur:] Le fondateur du FEM, Klaus Schwab, a lui aussi fait l'éloge des "réalisations" du Parti communiste chinois. Et si nous nous souvenons que la métrique des données du FEM doit servir de base à l'application de l'IA dans le contrat social, la boucle est bouclée. Même sans mesures punitives, le système de récompenses SVR est une aberration. La surveillance totale et l'évaluation du comportement de chacun, c'est la fin de la vie privée et donc la fin de la liberté. En combinaison avec les monnaies numériques des banques centrales - en abrégé CBDC - il est facile de couper les vivres à quiconque ne se conforme pas. L'UN100 est très favorable à la monnaie numérique de banque centrale. Enfin, il faut préciser qu'un système qui récompense la conformité dégrade l'homme en tant qu'être libre. Le militant des droits civiques Nicolas Rimoldi dit à ce sujet : [Voix :] "Nous, les hommes, devons être éduqués pour devenir des citoyens obéissants. Pas par la contrainte, mais par la non-récompense en cas de désobéissance, ce qui revient au même. Ce système rappelle celui des chiens pavloviens, qui sont entraînés à adopter certains comportements pour obtenir des récompenses. Il déresponsabilise les citoyens et les réduit à des participants conformes au système, qui agissent selon des règles prédéfinies au lieu d'agir librement et de manière autonome." [Voix :] Résumé [Voix :] Le contrat social pour l'ère de l'IA promet de faire du monde une meilleure planète et de renforcer la liberté, les droits et la reconnaissance des individus. Mais un examen plus approfondi montre clairement qu'il s'agit de mettre en place un système dans lequel le citoyen est habitué à une domination de l'IA et est réduit à un fournisseur de données. L'Alliance démocratique pour la gouvernance numérique doit assurer l'alignement des États-nations, tandis que le système de crédit social surveille les gouvernements, les entreprises et les individus et les aligne sur l'Agenda 2030 ennemi de l'homme, en les récompensant. De facto, un système qui veut nous priver de notre liberté et de notre dignité. [Présenteur:] Chers téléspectateurs, le temps de mettre un terme au contrat social pour l'ère de l'IA, c'est MAINTENANT, et vous pouvez y contribuer activement. Diffusez cette émission autant que possible afin de faire prendre conscience au public de ces sombres projets dès maintenant. Échappez à la prison numérique en utilisant de l'argent liquide chaque fois que c'est possible ou en remplaçant les communications numériques par de vraies conversations. Soyez conscient que les solutions dites intelligentes comme le smartphone, la maison intelligente ou la conduite autonome préparent le chemin de la démocratie intelligente. Mettez un terme à la domination planifiée de l'IA en renonçant à l'utilisation de l'IA dans votre vie quotidienne et en privant ces systèmes de leur base : vos données personnelles. Le fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek, a récemment mis en lumière un autre aspect très fondamental de ces technologies. Découvrez ci-dessous un extrait de son discours lors de la Journée des Amis de cette année. [Ivo Sasek :] "Nous sommes de plus en plus orientés et dépendants de machines, de clouds externes ou finalement d'implants dans notre corps. Mais nous sommes ainsi dépossédés de nous-mêmes. C'est là que le bât blesse. Nous perdons nos privilèges divins, nos privilèges intérieurs à cause de cela. [...] C'est comme toujours, une offre de salut qui n'apporte pas le salut. Donc pas de progrès, c'est toujours et partout la même chose. Bien sûr, pour l'instant, c'est un progrès considérable. Mais ce que nous écrasons et ruinons littéralement, c'est notre connexion à l'ère du développement divin en nous, qui est en train d'apparaître. Où toutes ces magnifiques capacités naîtraient directement de nous, sans aucune machine ou intelligence artificielle. C'est de cela que nous parlons aujourd'hui. Car ces capacités sont dans le programme. C'est le temps que Dieu a fixé maintenant pour cela, le printemps pour cela. Parce que tu as toutes ces compétences directement en toi. Et il y a ce kaïros [explication du mot : kaïros = moment approprié] qui veut se lever en toi pour que tu puisses appliquer tout cela de manière acceptable."
de jb.
Initiative UN100 : https://un100.net/introduction/
Livre « Remaking the World - The Age of Global Enlightenment » de:https://un100.net/books-un/official-launch-of-the-e-book-of-the-united-nations-centennial-remaking-the-world-the-age-of-global-enlightenment/
https://archive.org/details/un-100-age-of-global-enlightenment
United Nations Academic Impact: https://www.un.org/en/academicimpact
https://un100.net/academic-impact/1508/
Boston Global Forum: https://bostonglobalforum.org
Klaus Schwab, fondateur du FEM, parle des technologies numériques prédictives et du caractère superflu des élections démocratiques : https://www.youtube.com/watch?v=Pjpmh_iG9PE
ESG - Environmental, Social & Governance: https://de.wikipedia.org/wiki/Environmental,_Social_and_Governance
Contribution de Nicolas Rimoldi sur le contrat social à l'ère de l'IA : https://www.tell-news.ch/p/die-uno-plant-den-globalen-gesellschaftsvertrag
Système de crédit social : https://de.wikipedia.org/wiki/Sozialkredit-System
John Quelch, cofondateur et membre du conseil d'administration du Boston Global Forum : https://bostonglobalforum.org/board-of-directors/john-quelch/
https://en.wikipedia.org/wiki/John_Quelch
École internationale de commerce Chine-Europe (CEIBS) : https://en.wikipedia.org/wiki/China_Europe_International_Business_School
Joseph Samuel Nye Jr.: https://en.wikipedia.org/wiki/Joseph_Nye
L'admiration de Justin Trudeau pour la dictature chinoise : https://www.ctvnews.ca/politics/article/trudeau-under-fire-for-expressing-admiration-for-chinas-basic-dictatorship/
Klaus Schwab fait l'éloge des réalisations du PCC : https://youtu.be/NI6_8_zrsGs
https://www.lifesitenews.com/news/klaus-schwamb-praises-ccp-politicans/?utm_source=digest-freedom-2023-06-29&utm_medium=email
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